dimanche 27 mai 2018

Tataki-zomé autour de l’étang…


Nous étions samedi après-midi en balade autour de l’étang du Plessis-Bergeret à La Ferrière, dans le cadre d’une sortie ayant pour thème le  « tataki-zomé », que j’ai animée pour le Conseil départemental de la Vendée.

Nous avons fait apparaître les pigments contenus dans les feuilles et fleurs que nous avons récoltées, en les martelant sur des pièces de tissu.
C’est une technique ancienne, appelée « tataki-zomé » en japonais.
« tataki » signifie marteler et « zomé », teindre d’où teindre en martelant.


Voici quelques plantes observées autour de l’étang, qui pour certaines ont été choisies pour être martelées, car présentant de jolis contours, ou bien dont la chlorophylle se dépose particulièrement bien sur le tissu.

Les participants avaient à leur disposition un « kit » pour tataki-zomé, à savoir un marteau, une planche et une pièce de tissu de coton.





Les plantes autour de l’étang :


Oenanthe crocata L., Oenanthe safranée, Apiacées :






Plante toxique :
C'est une plante toxique ; avec la Grande ciguë (Conium maculatum) et la Ciguë vireuse (Cicuta virosa), l'Oenanthe safranée est, parmi les Apiacées, « l'une des 3 principales espèces dangereuses trouvées en France ». Les composés toxiques sont des polyynes (comme chez la Ciguë vireuse et la Petite ciguë) et à la différence de la grande ciguë (dont la toxicité est due à des alcaloïdes).

Elle contient de la crocatone, mais aussi des composés toxiques (œnanthotoxine, toxique à partir de quelques milligrammes ingérés).

Elle est également toxique pour certains animaux domestiques, qui peuvent notamment en consommer les racines mises au jour avec l'épandage de boues de curage de mares, fossés, étangs.

Des accidents sont rapportés plusieurs fois par an chez l'Homme, parfois mortels. Il en advient chaque année, souvent à la suite d'une confusion avec une plante alimentaire, notamment lors d'opérations « survie » ou lors d'un repas au « naturel » improvisé. Un cas d'intoxication volontaire a été décrit (2005) dans la littérature (le patient de 43 ans a été sauvé, après 4 jours de réanimation et traitement des symptômes.

Chez un enfant ayant confondu cette plante avec une carotte sauvage et en ayant mangé, les symptômes étaient un état « confus avec une somnolence et des céphalées, puis présentait des troubles digestifs (douleurs abdominales, vomissements, diarrhée). À l’hôpital étaient constatés un myosis, une ophtalmoplégie et une rhabdomyolyse ».

Cette plante a fait l'objet d'une thèse de pharmacie il y a plus d'un siècle.

La plante produit plusieurs composants toxiques : dérivés acétyléniques dont l'œnanthotoxine et la dihydroœnanthotoxine, à des concentrations beaucoup plus élevées que chez les autres œnanthes. Les parties souterraines sont les plus toxiques ; la plante sèche l'est moins.
Des intoxications sont possibles ; chez l'homme ou l'animal, et notamment chez l'homme car le tubercule peut être confondu avec la racine du radis, du navet ou du céleri. Les feuilles peuvent être confondues avec certaines variétés de persil.
Une intoxication a par exemple eu lieu à Vivario par ingestion de « pâté aux herbes ». Un officier génois a rapporté la mort de vingt-sept soldats empoisonnés « par une salade d’ochjigrisgiu (nom vernaculaire corse) » dans la région de Roccapina.
La mort peut survenir en 3 heures. L'œnanthe safranée pourrait ainsi correspondre à l'« herbe sardonique », moyen utilisé par les Sardes de l'Antiquité pour droguer leurs victimes avant la mise à mort.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%92nanthe_safran%C3%A9e
























Iris pseudacorus L., Iris des marais, Iridacées :




Usages de l'Iris des marais :

Tannage :
Riche en tanin, le rhizome de l'iris des marais est utilisé pour le tannage (Guide complet de la nature - Michael Lohmann - p.376 - (ISBN 2-8034-4019-9) - Éditions Chantecler - Aartselaar - Belgique - 1992).


Plante médicinale :
Connu dès l'Antiquité grecque, le suc du rhizome de l'iris des marais était employé contre la cataracte et diverses douleurs. Dioscoride le pharmacologue grec du Ier siècle, le décrit sous le nom de akoron ακορον (Materia medica7 I, 2) (Pedanius Dioscorides of Anazarbus, De materia medica (translated by Lily Y. Beck), Olms - Weidmann, 2011, 630 p.), dérivé de a- korê α + κορη, « privatif + pupille ». L'encyclopédiste romain Pline l'Ancien, à la même époque, confirme ces informations (H.N. 25, 157; 26 ; 228 etc.).
Au XVIe siècle, Pierandrea Mattioli publia une traduction commentée de Dioscoride en italien qui fut ensuite traduite en français en 1554 par Jean Ruel. Le succès de ces traductions fort bien illustrées sera immense. De nombreuses vertus médicinales sont attribuées à la flambe, l'Iris des marais (Mattioli, Pietro Andrea, Commentaires de M. Pierre Andre Matthiole médecin senois sur les six livres de Ped. Dioscoride Anazarbeen de la matière medicale, Lyon : Guillaume Rouillé, 1572). Les anciens herboristes ont beaucoup prélevé l'Iris des marais dans la nature, jusqu'à provoquer sa raréfaction dans certaines régions.
Actuellement, en raison de sa toxicité, l'Iris des marais n'est plus guère utilisé en herboristerie. Rameau et al. (J.C. Rameau, D. Mansion, G. Dumé, Flore forestière française, guide écologique illustré, t. 1, Institut pour le développement forestier, 1989, 1786 p.), indiquent « rhizome, expectorant, diurétique et excitant (à faible dose) ».

Horticole :
Il est utilisé sur les berges humides des étangs, des cours d'eau ou des mares artificielles. Il peut devenir envahissant.

Dépollution :
De nombreuses études de phytoremédiation ont montré qu'on pouvait utiliser les plantes pour dépolluer les sols. Une méthode consiste à traiter le sol dans des casiers végétalisés par des plantes de milieux humides (Phragmites australis, Iris pseudacorus et Salix viminalis). Une étude (Tatiana Kirpichtchikova, Phytoremédiation par Jardins Filtrants d’un sol pollué par des métaux lourds. Approche de la phytoremédiation dans des casiers végétalisés par des plantes de milieux humides et étude des mécanismes de remobilisation/immobilisation du zinc et du cuivre, Université Joseph-Fourier – Grenoble, 2009, 279 p.) a montré qu'une quantité importante des métaux peut être éliminée du sol via la phytolixiviation résultant de l’interaction de l’activité racinaire avec l’irrigation, alors qu'une partie insignifiante des métaux (Zn, Pb, Cu) est accumulée dans la biomasse.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Iris_pseudacorus


























Achillea millefolium L., Achillée millefeuille, Astéracées
& Senecio jacobaea L., Séneçon jacobée, Astéracées :




Achillée millefeuille :

Plante tinctoriale :
Avec les parties aériennes fleuries, on obtient du jaune (aucun additif) et du vert bronze, brun (additif : fer).

Plante comestible :
On consomme les feuilles fraîches ou sèches (dans la préparation de spiritueux et tisanes), les boutons floraux et les fleurs (aromatisent les boissons).

Plante médicinale :
C'est un anti-inflammatoire du tube digestif, sédatif, dépuratif et tonique. Elle est utilisée dans les affections rénales, les palpitations cardiaques, les névralgies, les maux de tête et de dents. Les substances amères stimulent la sécrétions de bile et soulagent les affections hépatiques chroniques.
En usage externe contre les douleurs articulaires et les impuretés de peau. Emploi traditionnel contre les hémorroïdes et les troubles menstruels, en homéopathie contre les saignements (d'où le nom populaire d'Herbe-à-la coupure).
Chez les personnes sensibles, l’Achillée combinée au soleil peut provoquer une allergie de contact appelée « dermite des prés ».


Séneçon jacobée :

Plante toxique :
Contient des alcaloïdes pyrrolizidiniques (sénécionine, sénéciphylline, etc.), rassemblés sous l’appellation de « nécines ».





Oenanthe crocata L., Oenanthe safranée, Apiacées :














Amanite,
Hypothèses d’identification :
Amanita franchetii (Boud.) Fayod, Amanite à voile jaune, Amanitacées
OU
Amanita pantherina (DC.) Krombh., Amanite panthère, Amanitacées
OU
Amanita spissa (Fr.) P. Kumm., Amanite épaisse, Amanitacées :






Amanite à voile jaune :
Edibility :
Amanita franchetii's edibility is suspect; it should not be taken for the table. Although chemical analysis has not thus far revealed in A. franchetii the presence of the amatoxins found in some other Amanitas, it has recently been implicated in the deaths of ten people in China who displayed symptoms similar to those caused by amatoxin poisoning.


Amanite panthère :
Champignon toxique :
C'est un champignon toxique pour l'homme, mais non mortel. Comme l'amanite tue-mouches, il provoque des troubles digestifs violents et des effets psychotropes dissociatifs. La concentration de toxines étant plus élevée chez l'amanite panthère, l'intoxication est donc plus grave. Elle provoque des convulsions chez les enfants.

Utilisation :
Comme l'Amanite tue-mouches, elle contient de l'acide iboténique et du muscimole dont les propriétés hallucinogènes l'ont désignée pour un usage chamanique dans un but d'ivresse extatique. Cependant du fait de sa toxicité supérieure à celle de l'Amanite tue-mouches, son usage est plus délicat.



Amanite épaisse :
Comestibilité :
L'Amanite épaisse est un comestible médiocre que l'on s'abstiendra de consommer car il y a un grand risque de confusion avec l'Amanite panthère qui est toxique.
















Lymantria dispar L., Bombyx disparate, Lymantriidae :













Lonicera periclymenum L., Chèvrefeuille des bois, Caprifoliacées :





Plante toxique et médicinale :
L'écorce a été utilisée comme diurétique. Les baies, pourtant légèrement toxiques, ont été vantées par Agricola, au XVIe siècle et par le médecin Nicolas Alexandre au XVIIIe siècle comme « admirables pour guérir les plaies récentes mais non pas les ulcères » (d'après Lieutaghi, 1969).

Les fleurs de Chèvrefeuille, cueillies un peu avant maturité puis séchées à l'ombre, ont pendant longtemps été très estimées par la médecine populaire. Elles étaient traditionnellement préconisées contre la toux, le rhume, les bronchites légères, l'asthme nerveux, les palpitations, l'insomnie, le hoquet. Elles se prenaient sous forme d'infusion à raison de 4 à 8 g de feuilles par litre d'eau et de 2 à 3 tasses par jour.

Les fleurs et des boutons floraux de Lonicera japonica Thunb. sont communément utilisés par la médecine traditionnelle chinoise. Cette pratique médicale restant très vivante en Chine, de nombreuses analyses pharmacologiques réalisées sur les composants actifs (voir l'article Lonicera japonica) ont révélé une activité antibactérienne, anti-inflammatoire et antivirale significative.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A8vrefeuille_des_bois


















Pteridium aquilinum (L.) Kuhn, Fougère Aigle, Dennstaedtiacées :




Plante tinctoriale :
Avec les jeunes crosses de fougère, on obtient un jaune vert.

Si vous utilisez au début du printemps les jeunes crosses de fougère, vous obtiendrez un jaune vert délicat.

Source : http://plandejardin-jardinbiologique.com/plante-tinctoriale-teinture-bio.html

Plante toxique :
Toute la plante est toxique lorsqu'elle est jeune, car elle contient des hétérosides cyanogènes.
Par ailleurs, la Fougère-aigle élabore une thiaminase, responsable de la dégradation de la thiamine (vitamine B1). L’effet toxique se manifeste chez les animaux dépendant d’un apport exogène en vitamine B1, comme le cheval : on observe alors l’incoordination des mouvements, des contractions musculaires involontaires, voire des convulsions et des arythmies.
Enfin, un sesquiterpène, le ptaliquoside, provoque des hémorragies et hématuries (présence de sang dans les urines) chez les bovins (c’est le ptéridisme ou hématidrose), et montre une action cancérigène chez l’Homme (cancer de l’œsophage et de l’estomac). Ce principe est cependant détruit à la chaleur.
Pour ces diverses raisons, il n’est guère raisonnable de proposer la Fougère-aigle comme plante comestible, même si elle a pu être consommée historiquement en Europe et si elle est toujours proposée _ après certaines préparations_ en Asie.






Frangula alnus Mill, Bourdaine, Rhamnacées :







Plante toxique :
Les fruits et l'écorce fraîche contiennent des composés anthracéniques dont la forme réduite est émétique donc très toxique, mais le séchage permet leur oxydation en anthraquinones.

Son fruit, très prisé des chevreuils notamment, contient un alcaloïde aux effets psychotropes.

Plante médicinale :
L'écorce séchée contient de 6 % à 9 % d’anthranoïdes (ses baies en contiennent aussi mais seulement 3 % à 4 %) et est utilisée comme laxatif stimulant. À réserver à un usage occasionnel, car elle est irritante pour le côlon.

Autres propriétés :
Le charbon de bois obtenu avec cet arbuste permettait vers 1860 de fabriquer de la poudre noire à faible vitesse de déflagration, utilisée dans les carrières de pierres ornementales pour fournir de gros blocs non fracturés. C'est notamment elle qui permit d'extraire pour Charles Garnier dans les mines de fluorine de Voltennes (La Petite-Verrière, en Morvan, France) les gros blocs nécessaires à la fabrication des 189 colonnettes (de 55 cm de hauteur d'un seul tenant au final) qui décorent les balcons de la nef du Grand Escalier du Palais Garnier, l'opéra national de Paris. La bourdaine est également un plante mellifère, grâce à ses petites fleurs riches en nectar, dans lesquelles les abeilles puisent pour faire un miel très riche et très apprécié.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourdaine

Plante pour la vannerie :
Son bois est blanc, il peut être utilisé pour la vannerie ou pour fabriquer des tuteurs.

Source : http://www.orthez.educagri.fr/fileadmin/user_upload/pdf/Actus/Eco-parlement2015/Lien_4_-_plantes.pdf

Plante tinctoriale :
A partir de l’écorce, on obtient de l’orangé (aucun additif).
A partir des baies vertes, on obtient du jaune brillant (aucun additif).
A partir des baies mûres, on obtient du violet (en rajoutant du vinaigre dans l’eau de rinçage) et du vert (aucun additif).














Stellaria holostea L., Stellaire holostée, Caryophyllacées :







Étymologie :
Le nom « holostée » veut dire « entièrement [constitué] d'os », en raison de la forme particulière des tiges, anguleuses, et renflées aux extrémités, ce qui les fait ressembler quelque peu à des os. Comme la tige est particulièrement cassante, la stellaire était autrefois tout naturellement préconisée dans le traitement des fractures, selon la théorie des signatures.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Stellaire_holost%C3%A9e




















Rorippa amphibia (L.) Besser, Rorippe amphibie, Brassicacées :






















Pteridium aquilinum (L.) Kuhn, Fougère Aigle, Dennstaedtiacées :










Silene flos-cuculi (L.) Clairv., Lychnis fleur de coucou, Caryophyllacées :






























Digitalis purpurea L., Digitale pourpre, Scrofulariacées :




Plante toxique et médicinale :
La digitale est une plante extrêmement toxique (10 g de feuilles sèches et 40 g de feuilles fraîches sont mortels pour l'homme) dont on extrait la digitaline ou digitoxine, utilisée comme tonicardiaque. Ces substances sont des glycosides cardiotoniques utilisés dans le traitement de la tachycardie et de l'arythmie cardiaque. Elle est plus prisée que la digitale jaune parce qu'elle contient plus de principes actifs que cette dernière.

La plante contient des sucres complexes (hétérosides) dont la digitoxine, la digoxygénine, la gitixoside, la digitaloside, la sapogénine, la digitonine, la digitoflavine. Ces substances régulent, ralentissent et renforcent (les 3 "R") les battements des muscles cardiaques. L’industrie pharmaceutique utilise plutôt la digoxine extraite de la digitale laineuse originaire des pays balkaniques en raison de sa résistance au gel et à sa plus forte teneur en principes actifs.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Digitalis_purpurea


























L’animation :

On dispose les végétaux récoltés sur une moitié du tissu.

On recouvre le tout avec l’autre moitié du tissu…. Puis on martèle !

Liste des végétaux utilisés :
Achillée millefeuille (Achillea millefolium), Chanvre d'eau (Lycopus europaeus), inflorescences mâles du Châtaignier (Castanea sativa), Chêne pédonculé (Quercus robur), Érable champêtre (Acer campestre), Fougère Aigle (Pteridium aquilinum), Genêt à balais (Cytisus scoparius), Géranium herbe-à-Robert (Geranium robertianum), Iris des marais (Iris pseudacorus), Liseron des champs (Convolvulus arvensis), fructifications d’Oseille (Rumex sp.), Phragmite commun (Phragmites australis), Plantain lancéolé (Plantago lanceolata), Renoncule (Ranunculus sp.), Tilleul (Tilia sp.) et Trèfle des prés (Trifolium pratense).





Vidéo, disposition des végétaux sur le tissu (1) : cliquez ici !









Vidéo, disposition des végétaux sur le tissu (2) : cliquez ici !


Vidéo, martèlement des végétaux (1) : cliquez ici !


Vidéo, martèlement des végétaux (2) : cliquez ici !
  
Vidéo, martèlement des végétaux (3) : cliquez ici !








Vidéo, martèlement des végétaux (4) : cliquez ici !











Vidéo, martèlement des végétaux (5) : cliquez ici !

















Vidéo, « nettoyage » du tissu (1) : cliquez ici !


Vidéo, « nettoyage » du tissu (2) : cliquez ici !














Vidéo, résultat du martèlement : cliquez ici !











Vidéo, « nettoyage » du tissu (3) : cliquez ici !









Vidéo, martèlement des végétaux (5) : cliquez ici !














Vidéo, « nettoyage » du tissu (4) : cliquez ici !












Sources :


350 plantes médicinales, docteur Wolfgang Hensel, Éditions Delachaux et Niestlé, Paris 2008, réimpression 2010

Cueillir et cuisiner les plantes sauvages. Recettes, conseils et confidences, Éditions Édisud, Compagnie des éditions de la Lesse, Aix-en-Provence, 2011

Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques, François Couplan et Eva Styner, Éditions Delachaux et Niestlé, Les guides du naturaliste, Paris, 2007

Guide des plantes toxiques et allergisantes, Michel Botineau, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011

Guide des teintures naturelles, plantes à fleurs, Marie Marquet, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011

La cuisine des plantes sauvages, Meret Bisseger, Éditions Ulmer, Paris 2012

La phytothérapie, se soigner par les plantes, Docteur Jean Valnet, Éditions Le Livre de Poche, Paris, 2016

Larousse des plantes médicinales. Identification, préparation, soins, Éditions Larousse / VUEF, 2001

Plantes sauvages comestibles, Alain Creton, Séquoïa Éditions, Colomars 2011

Plantes sauvages comestibles, S.G. Fleischhauer, J. Guthmann & R. Spiegelberger, Éditions Ulmer, Paris 2012