Entre deux immeubles, sur un terrain en friche…
Vidéo, friche urbaine (1) : cliquez ici !
Anagallis arvensis L., Mouron des champs,
Primulacées :
Plante toxique :
La plante présente une certaine toxicité, en particulier
pour les petits herbivores. Il était recommandé de ne pas en donner aux animaux
d'élevage, en particulier aux lapins.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anagallis_arvensis
Anthriscus sylvestris (L.) Hoffm., Cerfeuil
sauvage, Apiacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles et pointes tendres, les tiges
florales, les boutons floraux, les graines et la racine.
Plante médicinale :
Plante digestive, diurétique, dépurative, sudorifique,
antioxydante.
En usage externe : eczéma et inflammation cutanée.
Betula pendula Roth, Bouleau verruqueux,
Bétulacées :
Plante tinctoriale :
A partir des feuilles et des rameaux, on obtient du jaune
brillant (aucun additif) et du vert (additif : cuivre), et avec la partie
interne rouge de l'écorce, on obtient du beige-rose (aucun additif).
Plante médicinale :
En tisane, les feuilles, les bourgeons et l’écorce ont des
vertus diurétiques et dépuratives. En cure printanière, la sève est efficace
contre les rhumatismes. Par distillation sèche, on obtient le goudron de
bouleau, matière importante dans la pharmacopée.
Buddleja davidii Franchet, Arbre aux papillons,
Buddlejacées ou Scrofulariacées :
Plante médicinale :
Le Buddleia du père David a d'abord été utilisé comme
plante médicinale en Chine où l'écorce de ses racines et ses rameaux feuillés
sont utilisés comme matière médicale sous le nom de jiuyaohua.
Plante toxique :
Cette essence contient des molécules toxiques (aucubine en
particulier) ce qui explique que ses feuilles, son écorce et ses racines ne
sont pas mangées par la plupart des espèces autochtones là où il a été
introduit.
Les analyses phytochimiques d’espèces de Buddleja ont
montré la présence de flavonoïdes, d’iridoïdes (d’aucubine et de ses dérivés,
et de buddlédines), de sesquiterpénoïdes, de phényléthanoïdes et de lignanes. À
partir de la racine de Buddleja davidii ont été isolés 13 glycosides de phényléthanoïdes,
un glycoside d’iridoïde et 4 complexes de glycosides d’iridoïde-lignane.
La toxicité pour les poissons du Buddleia davidii a été
confirmée par l’isolement des buddlédines A, B et C, dans l’écorce de la
racine. L’activité antifongique significative des extraits de B. davidii est
due à la buddlédine A.
Plante invasive :
Le buddleia du père David, est toujours prisé comme plante
ornementale et en raison de son attrait pour les papillons, dans les jardins de
particuliers mais aussi dans certains aménagements paysagers (autoroutiers ou
communaux par exemple). Toutefois il a tendance à se propager facilement dans
les décombres et à se répandre le long des voies de chemin de fer. Il est
devenu une espèce invasive en de nombreux endroits. La première conséquence est
que, paradoxalement, il peut contribuer à l'extinction des papillons : en
effet, « ses feuilles ne participent pas à leur cycle biologique : le buddleia
ne nourrit pas les chenilles comme certaines plantes-hôtes indigènes (orties,
graminées, buissons,…) », auxquelles il se substitue.
Il s’est naturalisé et est devenu envahissant dans de
larges régions d'Europe de l’Ouest jusqu’à Bergen (Norvège). Il pose aussi
problème en Nouvelle-Zélande et dans le Sud-Est de l’Australie. En France, il
est présent de manière envahissante dans le Sud-Ouest, le Sud-Est, en Bretagne
et dans le Bassin Parisien. Le Centre semble la région la moins touchée.
Il est donc important de contrôler sa culture dans les
jardins. Il peut par exemple être remplacé par différentes espèces de lilas, la
menthe en arbre (Rostrinucula dependens), le gattilier ou des Buddleja hybrides
stériles : Buddleja × weyeriana.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buddleia_de_David
Plante tinctoriale :
A partir des feuilles, on obtient du jaune ocre (aucun
additif) et du brun kaki (additif : fer).
Centranthus ruber (L.) DC., Centranthe rouge,
Valérianacées :
Plante médicinale :
En raison de sa grande activité et de sa faible toxicité,
le Centranthus ruber peut être avantageusement substitué à la Valeriana
officinalis.
Les feuilles ont des propriétés antiscorbutiques.
Les Centranthes rouges sont très visités par les papillons
Moro-sphinx (Macroglossum stellatarum) ainsi que par les Sphinx-gazés (Hemaris
fuciformis).
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Centranthe_rouge
Cirsium arvense (L.) Scop., Cirse
des champs, Astéracées :
Plante comestible :
On consomme les jeunes racines de première année de
l'automne jusqu'au printemps, les jeunes feuilles encore dépourvues de piquants
se mangent crues ou cuites à l'eau avant la floraison.
En mai, on mange les boutons cuits comme légume ou on les
confit dans la saumure ou dans une marinade piquante. Les pétales décorent les
plats.
Plante médicinale :
Comme tous les cirses, la plante est peu utilisée à des
fins médicinales.
Plante tinctoriale :
A partir des parties aériennes fleuries ou des fanes de
carotte, on obtient du jaune vif à vert vif (le vert s'obtient plus facilement
avec la plante fraîche et en maintenant la température en dessous de
l'ébullition, aucun additif), du vert bronze (additif : fer).
Plante comestible :
On consomme la racine (la première année, de septembre
jusqu'au printemps suivant), les feuilles, les fleurs et les graines.
Plante médicinale :
Vermifuge, diurétique, en cas de diarrhées.
Epilobium hirsutum L., Épilobe hérissé, Oenothéracées ou Onagracées :
Vidéo, friche urbaine (2) : cliquez ici !
Ficus carica L., Figuier, Moracées :
Hedera helix L., Lierre grimpant,
Araliacées :
Plante médicinale :
Toux, bronchites, asthme.
Plante toxique :
Ce sont les baies qui sont toxiques. Le contact du Lierre
avec la peau peut irriter les personnes sensibles.
Pour fabriquer son produit vaisselle maison ! :
Faire bouillir 100 g de lierre dans 2 litres d’eau
plusieurs minutes. Presser, le jus obtenu peut alors être utilisé en tant que
liquide vaisselle.
Feuilles :
Les feuilles du lierre sont alternes, à limbe assez
coriace, vert foncé ou légèrement blanchie sur les contours du limbe.
Elles présentent deux formes différentes selon leur
fonction, on parle de dimorphisme foliaire ou hétérophyllie : les feuilles
caulinaires sont palmatinervées à 5 lobes plus ou moins profonds (parfois 3),
celles des tiges florifères (ayant accès à la lumière) sont
ovales, à sommet aigu.
Ces feuilles sont persistantes et tombent au cours de leur
sixième année.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lierre_grimpant
Plante pour la vannerie :
La liane du Lierre grimpant sert d’éclisse ou pour réaliser
les nœuds…
Holcus lanatus L., Houlque laineuse, Poacées :
Hypericum perforatum L., Millepertuis commun, Hypéricacées :
Plante tinctoriale :
A partir des parties aériennes de la plante fleurie, on
obtient du jaune à vert vif (aucun additif), du vert à bronze (additif : fer),
du rouge violacé à brun (additif : alcool).
A partir des sommités fleuries, on obtient des verts vifs
(aucun additif).
Plante comestible :
On consomme les feuilles et les fleurs.
Plante médicinale :
En usage interne, préconisé dans les cas de dépression,
nervosité , anxiété…
En usage externe, l'huile de millepertuis (macération de
plante dans de l'huile) favorise le renouvellement des tissus, d'où son emploi
contre les brûlures, plaies, douleurs dentaires et articulaires… Ses composants
inhibent certains médicaments. L'hypéricine qu'elle contient est antivirale.
Plante toxique :
Le millepertuis peut augmenter la sensibilité de la peau à
la lumière solaire, entraînant des rougeurs cutanées.
La photosensibilisations est liée à l’action des rayons du
soleil sur une molécule sensible : l’hypéricine.
Lactuca serriola L., Laitue scariole, Astéracées :
Plante comestible et médicinale :
Si les jeunes pousses sont comestibles, il n'en va pas de
même pour la plante adulte, d'odeur fétide, à la tige gluante et aux feuilles
épineuses à latex blanchâtre.
Dans les pays anglo-saxons on l'appelle souvent « compass
plant » (plante-boussole), car les feuilles de la tige principale sont
disposées perpendiculairement à la lumière du soleil, avec une tendance à
pointer vers le nord et le sud.
Comme la Laitue vireuse (Lactuca virosa), la Laitue
scariole a été utilisée comme substitut à l'opium. On se servait du latex
séché, fumé ou bu en tisane - très amère !
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Laitue_scariole
Lactuca virosa L., Laitue vireuse, Astéracées :
Plante médicinale :
Le suc de la laitue vireuse est un liquide blanc (laiteux,
d'où les laitues tirent leur nom) appelé lactucarium, très amère, un peu
semblable à l'opium dans son aspect, son extraction, ses manipulations mais
aussi dans l'optique de ses effets médicaux (antitussif, sédatif, antalgique,
faible anesthésiant, modérateur du transit intestinal, sudorifique,
anti-nerveux, stimulant général à faible dose, soporifique à plus forte
dose...).
Le lactucarium forme un latex séché dans lequel se
retrouvent deux principes actifs concentrés appelés lactucérol et lactucine qui
seraient à l'origine des effets principaux et capables de provoquer une
somnolence. Toutes les laitues contiennent ce suc en quantité variable,
notamment dans leur tige d'où il est extrait par incision au moment de la
floraison. Les laitues cultivées en possèdent elles aussi les propriétés en
plus de leur valeur nutritionnelle, étant riches en vitamines et oligo éléments
ainsi qu'en fibres.
Le lactucarium est utilisé en homéopathie dans l'insomnie
et la bronchite. On lui attribue aussi des effets sédatifs, analgésiques et
expectorants alors que la médecine conventionnelle moderne ne l'utilise plus
que très peu avec un déclin de son exploitation pharmaceutique. Il fut
cependant utilisé et étudié jusqu'au milieu du XXème siècle et persiste dans
certains domaines de la phytothérapie.
La plante et son suc ont été fréquemment utilisés depuis
l'Antiquité et jusqu'au XXème siècle pour soulager et soigner un grand nombre
de maux sans présenter de risque. Ils ont vécu à côté ou ont été remplacés par
d'autres remèdes se montrant plus actifs ou spécifiques, et plus
particulièrement l'opium qui posa la question d'une limite aux médicaments les
plus adaptés ou suffisants. Des usages traditionnels ont encore lieu dans des
pays comme l'Égypte où les produits de la plante peuvent être administrés aux
enfants en préférence d'autres remèdes plus délicats, notamment comme sédatif
nerveux.
Outre les vertus déjà évoquées, la plante se montre aussi
diurétique et faiblement sudorifique, anti-diarrhéique, minéralisante
(rafraîchissante, la laitue cultivée possède en outre beaucoup de vitamine C),
légèrement hypnotique mais également onirique (favoriserait les rêves),
réducteur de l'activité sexuelle (prolongation de l'acte chez l'homme,
modérateur des pulsions, agit contre la spermatorrhée). Ses similitudes avec
l'opium sont donc nombreuses et ont inspiré, mais sans succès mesurable cependant,
sa substitution aux narcotiques, notamment pour tenter de luter contre les
dégâts sanitaires provoqués par l'opium avant qu'il ne soit interdit (voir
ci-dessus en section Histoire). Mais contrairement à celui-ci, elle est dénuée
d'effet constipant et se montre digestive (tonique amère) et astringente,
stimulant la digestion tout autant que le moulage des selles. Elle se
différencie aussi par son absence de congestion cérébrale ou encore d'effet
euphorisant relatifs aux opiacés.
Son association avec l'opium a fait partie du Codex médical
à la hauteur de deux parts de lactucarium pour une part d'opium. Cette
association est utilisée pour adoucir les effets secondaires de l'opium (contre
la constipation, effet tonique sur les fonctions vitales) tout en
potentialisant ses effets sédatifs (sur la douleur, la toux, les spasmes, la
nervosité...). Ces proportions permettent de limiter les quantités nécessaires
d'opium jusqu'à moitié dans les affections qui y sont sensibles. En composant
unique, elle est finalement susceptible d'avoir dans une mesure modérée les
mêmes usages thérapeutiques que l'opium sans provoquer d'addiction ni d'effet
secondaire opiniâtre ou dangereux grâce à des modes d'action très différents.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Laitue_vireuse
Lotus corniculatus L., Lotier corniculé, Fabacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles tendres en mars-avril, les gousses
à partir de juillet et les fleurs.
Plante médicinale :
L'infusion de fleurs est antispasmodique et sédative, on
l'emploie contre les troubles du sommeil et la nervosité. En usage externe
contre la conjonctivite et en gargarisme contre les gingivites. L'extrait de
Lotier corniculé protège la peau. La plante fraîche contient du cyanhydrate que
l'on élimine en la faisant bouillir sans couvercle. Cependant, la plante
fraîche est inoffensive en petites quantités pour relever les plats.
Picris echioides L., Picris fausse vipérine, Astéracées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles.
Plantago lanceolata L., Plantain lancéolé, Plantaginacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les boutons floraux, les graines
et la racine.
Plante médicinale :
En interne : bactéricide, dépuratif, inflammations
bucco-pharyngées, ulcères de l'estomac, colites et inflammations urinaires.
En externe : soigne les plaies, irritations cutanées,
brûlures, enflures et piqûres d'insectes.
Populus tremula L., Peuplier tremble, Salicacées :
Plante médicinale :
L'écorce a des propriétés fébrifuges (propriétés
médicinales). L’écorce interne ou xylème est utilisée dans une tisane pour
traiter la fièvre, la toux et la douleur. elle contient de la salicine, qui se
trouve également dans les saules et est l’ingrédient de base de l’aspirine.
Le tremble est un des 38 remèdes du Docteur Bach. Il se
trouve dans la famille des émotions "peurs".
Autres utilisations :
Le bois tendre et léger est utilisé pour la pâte à papier,
la menuiserie, panneaux de meubles, emballage, le déroulage (fabrication
d'allumettes), certains toits d'église en Russie, car en vieillissant, le bois
prend la couleur de l'argent, le calage d'arbres de cimenterie, les baguettes
magiques.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tremble
Quercus rubra L., Chêne rouge d'Amérique, Fagacées :
Utilisation :
Introduit en Europe dès 1724, il est de plus en plus
utilisé pour le reboisement (car il grandit plus vite que les chênes
européens), mais il est surtout planté pour ses propriétés ornementales, en
particulier son feuillage automnal. Toutefois, son utilisation en forêt est de
plus en plus déconseillée en Europe, car il produit de nombreux glands dès
l'âge de 20 ans et peut se montrer envahissant et se substituer aux chênes
autochtones.
Le bois, lourd, à grain serré (moins que les chênes
européens cependant), de couleur brun rougeâtre, est utilisé pour les
charpentes, la tonnellerie, ainsi qu'en menuiserie et en ébénisterie. Il n'est
cependant pas imperméable et ne peut être utilisé que pour la tonnellerie de
denrées sèches (thylles peu abondantes ou absentes). L'écorce a longtemps servi
au tannage des cuirs.
Il est déconseillé de le planter près des habitations car
ses racines très puissantes peuvent soulever des revêtements assez épais. Il
est toutefois assez utilisé comme arbre d'alignement.
Rubus ulmifolius Schott, Ronce à feuilles d'Orme, Rosacées :
Sambucus nigra L., Sureau noir,
Caprifoliacées ou Adoxacées :
Plante tinctoriale :
A partir des baies mûres, on obtient du mauve à violet
(additif : vinaigre), du vert sapin (additif : lessive de cendre ou sulfate de
fer), du mauve à rose (aucun additif).
Plante comestible :
On consomme les fleurs et les baies.
Attention ! Ne consommer les baies vertes ou
mûres qu’en petites quantités, car elles provoquent parfois diarrhées et
nausées. Les baies cuites et les fleurs sont inoffensives.
Plante médicinale :
La tisane de fleurs (2 cm3 par tasse) est
sudorifique ; on les associe souvent aux fleurs de tilleul contre les
rhinopharyngites. Elles stimulent les sécrétions bronchiales et entrent dans la
préparation des gargarismes.
Grâce à
leurs anthocyanes, les baies et le jus ont une action antioxydante ; de plus,
elles renforcent les défenses immunitaires. Emploi traditionnel contre les
sciatiques et les névralgies. Les baies fournissent aussi un colorant
alimentaire naturel.
Senecio inaequidens DC., Séneçon du Cap, Astéracées :
Vidéo, friche urbaine (3) : cliquez ici !
Senecio jacobaea L., Séneçon jacobée, Astéracées :
Plante toxique :
Contient des alcaloïdes pyrrolizidiniques (sénécionine,
sénéciphylline, etc.), rassemblés sous l’appellation de « nécines ».
Taraxacum officinale Weber, Pissenlit officinal,
Astéracées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les tiges florales, les boutons
floraux, et la racine.
Plante médicinale :
En interne : diurétique, soulage les affections hépatiques,
la goutte et les rhumatismes.
En externe : eczéma et autres affections cutanées.
Plante tinctoriale :
Autrefois la racine était torréfiée pour remplacer le café
et donnait un colorant magenta (rose).
Source :
http://nature.jardin.free.fr/vivace/mc_taraxacum_officinale.htm
Bon nombre de fruits, de plantes tachent les tissus si on a
le malheur de les renverser. Qui n'a jamais renversé un verre de vin sur la
nappe, ou écraser une framboise sur sa chemise... Mais, même si l'on a des
problèmes pour enlever ces auréoles, ce ne sont pas forcément des produits de
teinture. Il ne faut pas confondre taches et teinture. Voici la liste de
quelques faux amis:
La cerise qui ne donne que des vieux roses séchés
La fraise
La framboise...bref la plupart des fruits rouges
Le bleuet qui n'a jamais donné de bleu, comme cela est bien
souvent indiqué à tort dans des ouvrages anciens
Les racines de pissenlit qui devraient donner un
"rouge tomate" mais qui, en fait ne donnent que des litres de sueur
perdue pour arracher ces racines...
Source :
http://lesfilsdutemps.free.fr/tincto.htm
Sources :
350 plantes médicinales, docteur Wolfgang Hensel,
Éditions Delachaux et Niestlé, Paris 2008, réimpression 2010
Cueillir et cuisiner les plantes sauvages. Recettes,
conseils et confidences, Éditions Édisud, Compagnie des éditions de la
Lesse, Aix-en-Provence, 2011
Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques,
François Couplan et Eva Styner, Éditions Delachaux et Niestlé, Les guides du
naturaliste, Paris, 2007
Guide des plantes toxiques et allergisantes, Michel
Botineau, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011
Guide des teintures naturelles, plantes à fleurs, Marie
Marquet, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011
La cuisine des plantes sauvages, Meret
Bisseger, Éditions Ulmer, Paris 2012
La phytothérapie, se soigner par les plantes, Docteur
Jean Valnet, Éditions Le Livre de Poche, Paris, 2016
Larousse des plantes médicinales. Identification,
préparation, soins, Éditions Larousse / VUEF, 2001
Plantes sauvages comestibles, Alain
Creton, Séquoïa Éditions, Colomars 2011
Plantes sauvages comestibles, S.G.
Fleischhauer, J. Guthmann & R. Spiegelberger, Éditions Ulmer, Paris 2012
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire