Nous étions samedi après-midi dans la forêt de Meudon. Nous
avons observé la flore qui pousse autour/dans l’étang de Meudon.
Fagus sylvatica L., Hêtre, Fagacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les fruits (faines) et l’écorce
intérieure.
Plante médicinale :
Infusion d’écorce fébrifuge, bactéricide, soulage les
affections respiratoires.
Le goudron de bois de hêtre était autrefois employé pour
calmer les démangeaisons et les inflammations cutanées. Le bois donne une huile
essentielle appelée créosote, employée en homéopathie contre toutes sortes de
troubles inflammatoires. Le charbon de bois entre dans la composition de
nombreuses préparations contre les digestions paresseuses, les varices, les
insuffisances cardiaques et circulatoires.
Plante tinctoriale :
Les différentes couleurs obtenues avec les feuilles du
Hêtre :
- du jaune d’or (aucun additif),
- du vert (additif : cuivre),
- du vert kaki (additif : fer).
Castanea sativa Miller, Châtaignier,
Fagacées :
Plante tinctoriale :
À partir des bogues, de l’écorce et du bois, on obtient du
beige (aucun additif), brun-rouge (aucun additif) ou brun noir (additif : fer).
Plante comestible :
On consomme les graines (les châtaignes !).
Plante médicinale :
Feuilles: en infusion en cas de toux, coqueluche, diarrhée
(forte teneur en tanins). En gargarismes en cas d'inflammation bucco-pharyngée.
Préparations homéopathiques contre la toux convulsive et la rectite.
Fruits: La châtaigne était utilisée comme antidiarrhéique.
Plante pour la vannerie :
Le Châtaignier est une essence utilisée notamment pour la
vannerie sur arceaux.
Un exemple de fabrication de moules pour vanneries sur
arceaux par François Desplanches, artisan vannier :
Acer campestre L., Érable champêtre,
Acéracées ou Sapindacées :
Plante médicinale :
L’écorce est utilisée en décoction. Elle est astringente et
légèrement anticholestérolémique
Son action astringente le fait utiliser en cosmétique
(peaux couperosées)
Les bourgeons sont également utilisés en gemmothérapie
Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89rable_champ%C3%Aatre
Potentilla sterilis (L.) Garcke, Potentille
faux fraisier, Rosacées :
C'est une plante mellifère. Elle ne possède pas de
propriété médicinale particulière contrairement aux autres membres de la
famille des potentilles.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Potentilla_sterilis
Polypodium vulgare L., Polypode commun,
Polypodiacées :
Plante comestible :
Cette fougère présente un rhizome avec un goût amer et
sucré. Autrefois, il était utilisé pour aromatiser des confiseries comme le
nougat. Une saponine, l'osladine, au pouvoir sucrant intense (plus de 500 fois
celui du sucre), a été découverte dans le rhizome en 1971.
Plante médicinale :
Depuis environ 2000 ans, le rhizome séché est utilisé comme
vermifuge, cholagogue, laxatif et expectorant.
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Polypode_commun
Asplenium scolopendrium var. scolopendrium, Scolopendre
langue-de-cerf, Aspléniacées :
Plante médicinale :
Cette fougère était considérée, dans l'Antiquité, comme
efficace contre les infections du foie et de la rate (d'où ses autres
dénominations). Aujourd'hui, on lui reconnaît des propriétés expectorantes,
astringentes et émollientes car elle contient des mucilages et des tanins. La
scolopendre entre dans la composition du sirop officinal de chicorée composé.
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Scolopendre_%28foug%C3%A8re%29
Hypnum sp., Hypne, Hypnacées :
On aperçoit au milieu de l’étang Phragmites australis
(Cav.) Steudel., Roseau commun, Poacées
et au bord,
Typha sp., Massette,
Typhacées :
Phragmites australis (Cav.) Steudel., Roseau
commun, Poacées :
Plante comestible :
On consomme les racines les jeunes pousses et les graines.
Plante médicinale :
En médecine chinoise, le roseau passe pour analgésique,
diurétique et fébrifuge. Le jus de racine est utilisé contre la toux et la
nausée. L’infusion de fleurs et de feuilles est censé agir contre la bronchite,
le choléra et les intoxications alimentaires.
Typha sp., Massette,
Typhacées :
Plante pour la vannerie :
Ce sont les feuilles qui servent en vannerie. On peut en
faire notamment des besaces.
Clematis vitalba L., Clématite des haies,
Renonculacées :
Plante pour la vannerie :
La liane de la Clématite des haies sert d’éclisse pour la
vannerie.
Pour retrouver tous les articles de mon blog qui traitent
de la Clématite des haies comme plante de vannerie, cliquer sur les titres
suivants :
Vannerie sauvage - variations autour de la Clématite des
haies (Clematis vitalba) et du Jonc épars (Juncus effusus)
Mespilus germanica L., Néflier, Rosacées ou
Malacées :
Plante comestible :
On consomme les fruits (les nèfles !).
Plante médicinale :
Les nèfles sont antidiarrhéiques, fébrifuges, diurétiques
et dépuratives. L’extrait est utilisé en bain de bouche, en gargarisme et pour
laver les inflammations.
Urtica dioica L., Grande ortie,
Urticacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les graines et les boutons
floraux.
Avec les feuilles, je fabrique de la bière….
Voir l’article dans mon blog : Fabrication d’une bière à l’Ortie
… et je réalise des crêpes goûteuses ! :
Voir l’article : Atelier cuisine sauvage (crêpes aux orties) au Domaine national de Saint-Cloud - 19 juillet 2016
Plante médicinale :
En interne : douleurs rhumatismales, troubles digestifs et
biliaires et troubles de la prostate.
En externe : pour les cheveux gras et les pellicules.
Plante à fibres :
Avec la « peau » que l’on retire de la tige de
l’Ortie dioïque, on peut fabriquer une cordelette.
Voir l’article dans mon blog : Fabrication d’une
ficelle en Ortie dioïque (Urtica dioica)
Lycopus europaeus L., Chanvre d'eau,
Lamiacées :
Plante médicinale :
Les médicaments fabriqués avec les parties vertes du
Chanvre d'eau sont prescrits par la médecine officielle.
Ils réduisent l’activité de la glande thyroïde lors d’une
hyperthyroïdie légère et modifient le taux d’hormones avant les règles,
atténuant ainsi les effets secondaires prémenstruels.
En médecine populaire, le Chanvre d'eau était connu comme
fébrifuge.
Arctium minus (Hill) Bernh., Bardane
à petites têtes, Astéracées :
Medicago sativa L., Luzerne cultivée,
Fabacées :
Plante comestible :
On consomme les jeunes pousses récoltées d'avril à juin,
les fleurs et les graines (germée ou crues).
Plante médicinale :
La plante est légèrement laxative et diurétique. Elle peut
aussi soulager les troubles des menstruations et de la ménopause grâce à ses
substances oestrogéniques.
Plantago lanceolata L., Plantain lancéolé,
Plantaginacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les boutons floraux, les graines
et la racine.
Plante médicinale :
En interne : bactéricide, dépuratif, inflammations
bucco-pharyngées, ulcères de l'estomac, colites et inflammations urinaires.
En externe : soigne les plaies, irritations cutanées,
brûlures, enflures et piqûres d'insectes.
Solanum dulcamara L., Morelle douce-amère,
Solanacées :
Plante toxique :
Toute la Morelle douce-amère est toxique par la présence d’alcaloïdes
de type solanidane (solanines), ceux-ci étant concentrés dans la tige, les
feuilles, et surtout dans les fruits verts ; par contre ces molécules
disparaîtraient en grande partie lors de la maturation. Irritantes pour le tube
digestif, elles provoquent vomissements, diarrhées, gastro-entérites, mais
aussi hémolyse et parfois dépression respiratoire.
Plante médicinale :
Autrefois, les guérisseurs administraient les tiges et les
jeunes pousses comme diurétique et laxatif, contre les nausées, les bronchites
chroniques, l’asthme et les affections cutanées.
En raison des alcaloïdes toxiques qu’elle contient, la
Morelle est seulement utilisée en préparations prêtes à l’emploi contre les
eczémas et en homéopathie.
Vidéo, étang de Meudon, canards
Colvert, chants des oiseaux : cliquez ici !
Vidéo, étang de Meudon, chants
des oiseaux : cliquez ici !
Typha latifolia L., Massette à feuilles larges,
Typhacées :
Plante comestible :
On consomme les jeunes pousses d’avril à juin, les racines
en mars et en automne, les fleurs de juin à août.
Plante médicinale :
Le pollen a des propriétés diurétiques, on l’utilise contre
les calculs rénaux, les saignements, les troubles menstruels, les diarrhées et
le ténia.
Plante pour la vannerie :
Ce sont les feuilles qui servent en vannerie. On peut en
faire notamment des besaces.
Juncus effusus L., Jonc épars,
Joncacées :
Plante pour la vannerie :
Avec les brins de Jonc épars, on peut créer des objets en
vannerie spiralée, comme des boucles d’oreilles.
Pour voir mes créations en Jonc épars, cliquer sur le titre
de la page de mon blog : Boucles d’oreilles végétales
La paille tressée issue de cette plante appelé Igusa au
Japon, est utilisée notamment comme enveloppe de couverture dans la fabrication
des tatamis ou de la semelle des sandales traditionnelles, les zoris.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Juncus_effusus
Persicaria hydropiper (L.) Spach, Poivre-d'eau,
Polygonacées :
Plante comestible :
On consomme jusqu'en juin les jeunes feuilles et tiges, en
septembre les graines.
Plante médicinale :
On a décrit l'emploi curatif de la plante dans les
menstruations trop abondantes.
Vidéo, étang de Meudon, Massette
à feuilles étroites, chants des oiseaux : cliquez ici !
Typha angustifolia L., Massette à feuilles
étroites, Typhacées :
Plante pour la vannerie :
Ce sont les feuilles qui servent en vannerie. On peut en
faire notamment des besaces.
C'est une plante utile, entre autres, pour des mammifères
semi-aquatiques (rats musqués par exemple).
(Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Massette_%C3%A0_feuilles_%C3%A9troites)
Lycopus europaeus L., Chanvre d'eau,
Lamiacées :
Cirsium vulgare (Savi.) Ten., Cirse
commun, Astéracées :
Plante comestible :
On récolte les jeunes racines de première année de
l'automne jusqu'au printemps. On les sèche pour obtenir une farine dont on fait
des bouillies ou qui allongera la farine de céréales. Epluchées, on les cuit à
l'eau ou au four; après la cuisson à l'eau, on peut les faire sauter à la
poêle.
Les tiges molles après épluchage et les jeunes feuilles
encore dépourvues de piquants se mangent crues ou cuites à l'eau avant la
floraison.
En mai, on mange les boutons floraux cuits comme légume ou
on les confit dans la saumure ou dans une marinade piquante. Les fins pétales
décorent salades de crudités et de fruits et pâtes à tartiner.
Plante médicinale :
Comme tous les cirses, la plante est peu utilisée à des
fins médicinales.
Au premier plan : Typha angustifolia L., Massette
à feuilles étroites, Typhacées :
Salix alba L., Saule blanc,
Salicacées :
Plante pour la vannerie :
Les rameaux sont utilisés pour la vannerie.
Plante médicinale :
L'acide salicylique ou acide 2-hydroxybenzoïque est un
composé organique aromatique, l'un des trois isomères de l'acide
hydroxybenzoïque, constitué d'un noyau benzénique substitué par un groupe
carboxyle (acide benzoïque) et un groupe hydroxyle (phénol) en position ortho.
C'est un solide cristallin incolore qu'on trouve naturellement dans certains
végétaux, dont le saule (d'où il tire son nom), utilisé comme médicament et
comme précurseur de l'acide acétylsalicylique, l'aspirine.
Ingéré en grandes quantités, c'est un produit toxique, mais
en de moindres quantités il est utilisé comme conservateur alimentaire et
antiseptique.
Les propriétés médicales de l'acide salicylique sont
connues depuis longtemps, surtout pour son action contre la fièvre. On
l'extrayait principalement du saule, salix en latin dont il tire son nom. Dans
la lutte contre la fièvre, il est désormais supplanté par d'autres médicaments
plus efficaces comme l'aspirine (qui en est un dérivé), ou le paracétamol.
Il n'est désormais plus utilisé pour son action apaisante
(analgésique) et on le retrouve dans de nombreux produits en dermatologie en
complément d'un autre principe actif. Il est par exemple utilisé dans le traitement
de l'acné, des verrues ou de l'hyperhidrose.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_salicylique
Artemisia vulgaris L., Armoise commune,
Astéracées :
Plante tinctoriale :
A partir des extrémités fleuries, on obtient du beige ocre
(aucun additif), du vert kaki (additif : cuivre) et du bronze, noir (additif :
fer).
Plante comestible :
On consomme les très jeunes feuilles et pousses.
Plante médicinale :
En infusion, elle a un effet sédatif sur le système
nerveux.
Elle est également tonique et ne doit pas être bue en début
de grossesse. Elle calme les douleurs menstruelles, stimule la digestion et la
rate.
L’huile imprégnée d’Armoise soulage les rhumatismes.
Fagus sylvatica L., Hêtre, Fagacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les fruits (faines) et l’écorce
intérieure.
Plante médicinale :
Infusion d’écorce fébrifuge, bactéricide, soulage les
affections respiratoires.
Le goudron de bois de hêtre était autrefois employé pour
calmer les démangeaisons et les inflammations cutanées. Le bois donne une huile
essentielle appelée créosote, employée en homéopathie contre toutes sortes de
troubles inflammatoires. Le charbon de bois entre dans la composition de
nombreuses préparations contre les digestions paresseuses, les varices, les
insuffisances cardiaques et circulatoires.
Plante tinctoriale :
Les différentes couleurs obtenues avec les feuilles du
Hêtre :
- du jaune d’or (aucun additif),
- du vert (additif : cuivre),
- du vert kaki (additif : fer).
Quercus sp., Chêne, Fagacées :
Castanea sativa Miller, Châtaignier,
Fagacées :
Rubus groupe fruticosus, Ronce des bois,
Rosacées :
Plante tinctoriale :
On obtient du gris et du noir avec les feuilles et tiges de
la Ronce des bois, en rajoutant du fer comme additif.
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les fleurs et les fruits (les
mûres !).
Plante médicinale :
On utilise l'infusion de feuilles contre la diarrhée en
raison de leur forte teneur en tanins. En gargarisme, la ronce rend de précieux
services dans les inflammations bucco-pharyngées. Les mûres, de même que
l'infusion, ont un effet sédatif. Elles ont une grande valeur nutritive et
contiennent plus de provitamine A et de vitamine E que les autres baies ainsi
que beaucoup de vitamine B. Elles surpassent ainsi les autres fruits par leur
teneur élevée en magnésium et en fer. De plus, elles contiennent des
oligo-éléments importants comme le zinc, le manganèse et le cuivre. La couleur
foncée des mûres indique une forte teneur en pigments végétaux antioxydants.
Ceux-ci protègent l'organisme des radicaux libres nocifs qui jouent un rôle
dans de nombreuses maladies dégénératives et dans le processus de
vieillissement.
Plante pour la vannerie :
On
transforme les tiges de Ronce en éclisses qui serviront à garnir des paniers et
autres objets tressés, ou bien encore à coudre entre eux les boudins de plantes
sauvages dans la vannerie spiralée.
Heracleum sphondylium L., Berce commune,
Apiacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les tiges, les boutons floraux,
les graines vertes et immatures et la racine.
Plante médicinale :
Emploi traditionnel et homéopathique en cas de troubles
digestifs, d'hypertension, de toux et d'extinction de voix. En naturopathie
contre les troubles du système nerveux central, la sclérose multiple, les
rhinopharyngites, l'apathie, la somnolence et les maux de tête. Comme le
gingembre, la racine est employée comme réjuvénateur et comme aphrodisiaque.
Plante toxique :
La plante élabore des furocoumarines (psoralène,
bergaptène, etc.) à propriétés photosensibilisantes.
Tanacetum vulgare L., Tanaisie vulgaire,
Astéracées :
Plante tinctoriale :
Avec les parties aériennes fleuries, on obtient du jaune
vif, devenant brun si on cuit trop le bain (additif : aucun), du noir (additif
: fer).
Plante toxique et plante
médicinale :
Sainte Hildegarde de Bingen recommande l’utilisation de ses
parties vertes contre les vers intestinaux – cette application s’est longtemps
maintenue en médecine populaire.
L’automédication est fortement déconseillée en raison de la
toxicité de la drogue.
Les fleurs étaient également utilisées en cas de crampes
gastriques, troubles digestifs et menstruels.
Vidéo, Foulques macroule et Canards
colvert : cliquez ici !
Juncus tenuis Willd., Jonc fin,
Joncacées :
Plantago major L., Plantain à larges feuilles,
Plantaginacées :
Plante comestible :
On consomme les feuilles, les boutons floraux, les graines
et la racine.
Plante médicinale :
En interne : bactéricide, dépuratif, inflammations
bucco-pharyngées, ulcères de l'estomac, colites et inflammations urinaires.
En externe : soigne les plaies, irritations cutanées,
brûlures, enflures et piqûres d'insectes.
Vidéo, chant des Perruches à
collier (Psittacula krameri Scopoli)-Psittacidae : cliquez ici !
Sources :
350 plantes médicinales, docteur Wolfgang Hensel,
Éditions Delachaux et Niestlé, Paris 2008, réimpression 2010
Cueillir et cuisiner les plantes sauvages. Recettes,
conseils et confidences, Éditions Édisud, Compagnie des éditions de la Lesse,
Aix-en-Provence, 2011
Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques,
François Couplan et Eva Styner, Éditions Delachaux et Niestlé, Les guides du
naturaliste, Paris, 2007
Guide des plantes toxiques et allergisantes, Michel
Botineau, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011
Guide des teintures naturelles, plantes à fleurs, Marie
Marquet, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011
La cuisine des plantes sauvages, Meret
Bisseger, Éditions Ulmer, Paris 2012
La phytothérapie, se soigner par les plantes, Docteur
Jean Valnet, Éditions Le Livre de Poche, Paris, 2016
Larousse des plantes médicinales. Identification,
préparation, soins, Éditions Larousse / VUEF, 2001
Plantes sauvages comestibles, Alain
Creton, Séquoïa Éditions, Colomars 2011
Plantes sauvages comestibles, S.G.
Fleischhauer, J. Guthmann & R. Spiegelberger, Éditions Ulmer, Paris 2012
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