vendredi 1 juillet 2016

Animation « Sauvages de ma rue » avec les élus en charge du développement durable dans les départements des Yvelines et des Hauts-de-Seine le 30 juin à Saint-Cloud


Le 30 juin, j’avais convié les responsables et élus en charge du développement durable dans les départements des Yvelines et des Hauts-de-Seine, à découvrir le programme de sciences participatives « Sauvages de ma rue » mis en place par les scientifiques du Muséum national d’histoire naturelle de Paris.






Toute personne, quelque soit son niveau de connaissance en botanique, peut participer à ce programme, en observant puis en nommant les plantes sauvages observées en ville.



Le protocole consiste à choisir une portion de trottoir. On note les numéros des habitations entre lesquelles on va observer la flore ; puis le nom des rues adjacentes.



L’observation commence ! Pour nommer les plantes, on peut s’aider d’une flore, et notamment de celle éditée par le Muséum aux Éditions Le Passage, sous la direction de Nathalie Machon et Éric Motard : l’ouvrage Sauvages de ma rue, Guide des plantes sauvages des villes de France. Vous retrouverez les références complètes de ce livre à la page Bibliographie de mon blog.



Pour chaque plante observée, on indique le milieu dans lequel elle pousse : un pied d’arbre, un mur, une pelouse ou zone herbeuse, une plate-bande ou jardinière, une fissure de bitume ou pavé, sous une haie ou un massif arbustif, sur un chemin de terre ou dans des graviers…



Il est pratique de se munir de la fiche de terrain sur laquelle on pourra reporter toutes les informations :




Les données recueillies sont ensuite enregistrées sur le site internet. A moins que vous ayez téléchargé sur votre mobile l’application Sauvages de ma rue, et dans ce cas, l’enregistrement des données se fait en temps réel !



Il est intéressant de photographier les plantes, car les photographies pourront être enregistrées sur le site internet « Sauvages de ma rue ». Elles auront deux objectifs : d’une part permettre aux scientifiques du Muséum de valider les noms donnés aux plantes, et ensuite d’agrémenter une base photographique dans laquelle les mêmes scientifiques pourront puiser. Les photographes seront cités.



J’avais choisi pour notre balade la ville de Saint-Cloud, très active sur les questions relatives au développement durable, et pour laquelle j’ai déjà animé plusieurs sorties sur la thématique de la flore sauvage en ville :











Daucus carota L., Carotte sauvage, Apiacées :






Article paru sur le site internet de l'Association des maires des Hauts-de-Seine :



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