jeudi 30 mars 2017

La flore sauvage du Domaine national de Versailles – sortie du 5 mars 2017




Nous étions dimanche après-midi dans le parc du Domaine national de Versailles, et voici la flore rencontrée :





Ranunculus ficaria L., Ficaire fausse-renoncule, Renonculacées :



Plante comestible et plante toxique :

On consomme les jeunes feuilles.

La récolte de la Ficaire fausse-renoncule doit avoir lieu uniquement jusqu’à la floraison, car après elle devient toxique et irritante pour les muqueuses.






Devant Anthriscus sylvestris (L.) Hoffm., Cerfeuil sauvage, Apiacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles et pointes tendres, les tiges florales, les boutons floraux, les graines et la racine.



Plante médicinale :

Plante digestive, diurétique, dépurative, sudorifique, antioxydante.

En usage externe : eczéma et inflammation cutanée.






Arum maculatum L., Gouet tacheté, Aracées (SANS TACHE !) :




Plante toxique :

En ingestion : irritation de la sphère bucco-pharyngée, nausées et vomissements, diarrhée.

















Devant Rumex obtusifolius L., Patience à feuilles obtuses, Polygonacées :





Utilisation :

Ses larges feuilles étaient parfois utilisées pour envelopper le beurre de ferme mais la sève de la feuille est connue pour contenir des tanins et de l'acide oxalique, qui est un astringent. Elle peut causer une légère dermatite.



Éradication :

Cette oseille est considérée comme une mauvaise herbe et est légèrement toxique ; le bétail peut tomber malade en s'en nourrissant. Mais l'éradication des rumex est difficile, les spécimens âgés étant dotés d'une profonde racine pivotante pouvant atteindre 5 mètres de profondeur.



Conditions de levée de dormance :

Indique des hydromorphismes par tassement, engorgement en matière organique animale et parfois en eau. Si ce rumex explose en agriculture, c'est important ; car les hydromorphismes déstructurent les argiles et causent une libération d'aluminium et de fer ferriques toxiques pour l'homme. Il peut être intéressant de laisser ces plants sur place : leur racines percent les sols tassés et permettent leur oxygénation et l'arrêt naturel de l'asphyxie.

Rumex crispus et obtusifolius ne devraient pas lever dans un sol en bonne santé, il est donc inutile de les empêcher de grainer ; pour les besoins de culture on peut simplement couper la partie aérienne gênantes et laisser les racines corriger le milieu ; il faut évidemment éviter de passer avec un engin lourd ou d'ajouter de la matière organique sur ces « points d'asphyxie ».



Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Patience_%C3%A0_feuilles_obtuses







Devant Lamium album L., Lamier blanc, Lamiacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles et les fleurs.



Plante médicinale :

On utilise les fleurs et les parties vertes. En médecine naturelle, le lamier blanc passe pour tonique, anti-inflammatoire, bactéricide, hémostatique et diurétique ; il protégerait les muqueuses et stimulerait la digestion. On l’utilise de manière toute aussi variée : comme expectorant en cas d’angine et de bronchite, contre la gastro-entérite, la goutte et la fièvre. Le cataplasme de Lamier soulage les enflures cutanées, les démangeaisons et les varices.







Devant Tanacetum vulgare L., Tanaisie vulgaire, Astéracées :






Plante tinctoriale :

Avec les parties aériennes fleuries, on obtient du jaune vif, devenant brun si on cuit trop le bain (additif : aucun), du noir (additif : fer).



Plante toxique et plante médicinale :

Sainte Hildegarde de Bingen recommande l’utilisation de ses parties vertes contre les vers intestinaux – cette application s’est longtemps maintenue en médecine populaire.

L’automédication est fortement déconseillée en raison de la toxicité de la drogue.

Les fleurs étaient également utilisées en cas de crampes gastriques, troubles digestifs et menstruels.







Devant Heracleum sphondylium L., Berce commune, Apiacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles, les tiges, les boutons floraux, les graines vertes et immatures et la racine.



Plante médicinale :

Emploi traditionnel et homéopathique en cas de troubles digestifs, d'hypertension, de toux et d'extinction de voix. En naturopathie contre les troubles du système nerveux central, la sclérose multiple, les rhinopharyngites, l'apathie, la somnolence et les maux de tête. Comme le gingembre, la racine est employée comme réjuvénateur et comme aphrodisiaque.



Plante toxique :

La plante élabore des furocoumarines (psoralène, bergaptène, etc.) à propriétés photosensibilisantes.






Narcissus pseudonarcissus L., Jonquille, Amaryllidacées :




Plante toxique :

Le narcisse contient des composés chimiques toxiques paralysants, parfois même urticants pour certaines personnes, ainsi que dans son bulbe des alcaloïdes isoquinoléiques, dont la galanthamine et la lycorine, et un autre alcaloïde puissant, la narcétine. Ainsi le bulbe est très toxique. Son ingestion entraîne nausée et vomissements, à l'instar de l'ingestion de quelques feuilles vertes ou le fait de sucer une tige. Dans de rares cas, l'ingestion du bulbe entraine de graves accidents nerveux tétaniformes qui mènent à l'état létal.

Les fleurs, feuilles et tiges sont toxiques. Mais c’est le bulbe qui est la partie la plus toxique de la plante. Les animaux comme les humains sont concernés. Toutefois, il faut signaler que l'ancienne culture paysanne des hauteurs vosgiennes, parfaitement connaisseuse de ses caractéristiques, a préservé cette plante qu'elle n'a jamais crainte. Le narcisse abondant des prairies n'est pas brouté par le bétail. De plus, les feuilles ont disparu à la fenaison. Les bulbes sont enfouis sous les racines des graminées. Les narcisses ne causent aucune détérioration des prairies de fauche. Mieux, les bulbes jouent un rôle dans la stabilisation des sols de prairies aux abords des ruisseaux.

Le bulbe principalement, mais aussi toute la plante, est vénéneux. La sève contient des cristaux d'oxalate de calcium en forme d'aiguilles qui causent des inflammations douloureuses. La toxicité du bulbe ingéré se signale par des douleurs abdominales, des vomissements, des étourdissements ou des frissons. Le vomissement permet généralement le rejet des morceaux de bulbe ingéré, ce qui atténue le danger. Sinon les symptômes peuvent être plus graves. Les personnes fragiles peuvent avoir des dermites au contact de tout organe de la plante.

Le parfum du narcisse jaune est plus ou moins discret mais il peut s'avérer entêtant et endormant pour certaines personnes. La présence d’un bouquet de narcisses jaunes dans une pièce close est ainsi parfois déconseillée. Cette propriété endormante n'a semble-t-il jamais été utilisée en médecine.



Plante médicinale :

Les propriétés émétiques du bulbe ont été signalées par les grands médecins antiques, parmi lesquels Pline l'Ancien, Dioscoride (Mat. med., V, 158) et Galien. L'usage en faisait aussi un purgatif extrêmement violent.

Depuis les temps modernes, aucune utilisation interne n'est recommandée. Les fleurs possèdent des propriétés antispasmodiques. Elles étaient utilisée en thérapie comme calmants et sédatifs. On les emploie traditionnellement et à dosage strict dans certains occasions contre l'asthme et diverses affections nerveuses, également contre la coqueluche.



Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Narcissus_pseudonarcissus






Devant Galanthus nivalis L., Perce-neige, Amaryllidacées :






Plante toxique et plante médicinale :

Elle est toxique et médicinale. Le bulbe cru a des propriétés vomitives.

Au XIXe siècle, François-Joseph Cazin indique que la toxicité fut découverte par hasard lorsqu'une femme vendit des oignons de "perce-neige" à la place d'oignons de ciboulette, ce qui entraîna de violents vomissements chez les consommateurs.



Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Galanthus_nivalis















Taraxacum officinale Weber, Pissenlit officinal, Astéracées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles, les tiges florales, les boutons floraux, et la racine.



Plante médicinale :

En interne : diurétique, soulage les affections hépatiques, la goutte et les rhumatismes.

En externe : eczéma et autres affections cutanées.



Plante tinctoriale :

Autrefois la racine était torréfiée pour remplacer le café et donnait un colorant magenta (rose).

Source : http://nature.jardin.free.fr/vivace/mc_taraxacum_officinale.htm






Devant Plantago lanceolata L., Plantain lancéolé, Plantaginacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles, les boutons floraux, les graines et la racine.



Plante médicinale :

En interne : bactéricide, dépuratif, inflammations bucco-pharyngées, ulcères de l'estomac, colites et inflammations urinaires.

En externe : soigne les plaies, irritations cutanées, brûlures, enflures et piqûres d'insectes.







Un champ d’Allium schoenoprasum L., Ciboulette, Liliacées ou Alliacées ! :






Plante comestible :

Les feuilles fraîches sont utilisées, crues, ciselées, pour aromatiser les crudités, les salades, et diverses préparations culinaires comme les autres fines herbes. Cuites, elles entrent aussi dans certaines recettes, sauces, omelettes... La ciboulette est un des ingrédients de la cervelle de canut. La ciboulette séchée ou lyophilisée n'est pas à conseiller, car elle perd son goût1.

Les fleurs peuvent être avantageusement utilisées, pour la décoration de salades ou même de plats en sauce; elles peuvent aussi être conservées au vinaigre, comme les cornichons, mais elles perdent alors leur couleur.



https://fr.wikipedia.org/wiki/Ciboulette_(botanique)







Silene latifolia Poiret, Compagnon blanc, Caryophyllacées :



Plante comestible :

On consomme les jeunes pousses et les jeunes tiges.







Arum maculatum L., Gouet tacheté, Aracées (AVEC TACHES !),

à côté d’un Cerfeuil sauvage (Anthriscus sylvestris) :








Vicia sp., Vesce, Fabacées :











Nous sommes ensuite sortis du Domaine, pour aller observer la flore de l’allée des Matelots :




Devant Glechoma hederacea L., Lierre terrestre, Lamiacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles, les pointes tendres et les fleurs.



Plante médicinale :

Contre les gastro-entérites, les troubles de la vessie, les troubles hépatiques et les infections virales. En usage externe, pour soigner les plaies et la peau (application d’une huile dans laquelle on a fait macérer la plante).







Devant Achillea millefolium L., Achillée millefeuille, Astéracées :




Plante tinctoriale :

Avec les parties aériennes fleuries, on obtient du jaune (aucun additif) et du vert bronze, brun (additif : fer).



Plante comestible :

On consomme les feuilles fraîches ou sèches (dans la préparation de spiritueux et tisanes), les boutons floraux et les fleurs (aromatisent les boissons).



Plante médicinale :

C'est un anti-inflammatoire du tube digestif, sédatif, dépuratif et tonique. Elle est utilisée dans les affections rénales, les palpitations cardiaques, les névralgies, les maux de tête et de dents. Les substances amères stimulent la sécrétions de bile et soulagent les affections hépatiques chroniques.

En usage externe contre les douleurs articulaires et les impuretés de peau. Emploi traditionnel contre les hémorroïdes et les troubles menstruels, en homéopathie contre les saignements (d'où le nom populaire d'herbe-à-la coupure).

Chez les personnes sensibles, l’Achillée combinée au soleil peut provoquer une allergie de contact appelée « dermite des prés ».






Potentilla reptans L., Potentille rampante, Rosacées :



Plante comestible :

On consomme les très jeunes pousses pas encore fibreuses et les fleurs en décoration.



Plante médicinale :

Elle est astringente, analgésique et antidiarrhéique.







Ranunculus repens L., Renoncule rampante, Renonculacées :



Plante toxique :

À l'instar des autres renoncules, elle est toxique fraîche (mais pas après fenaison et séchage). Ce fait, ainsi que son caractère envahissant, en ont fait une plante à problème dans les pâturages. Le bétail évite d'en consommer. La seule façon de pouvoir s'en débarrasser est l'arrachage manuel ou le désherbage sélectif dans une pelouse envahie.



Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Renoncule_rampante





Bellis perennis L., Pâquerette vivace, Astéracées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles, les fleurs, les boutons floraux et les graines.



Plante médicinale :

En interne : rhino-pharyngites, troubles hépatiques.

En externe : acné, soin des plaies.





Devant Medicago arabica (L.) Hudson, Luzerne tachetée, Fabacées :









Devant Veronica persica Poiret, Véronique de Perse, Scrofulariacées ou Plantaginacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles et les fleurs.



Plante médicinale :

En interne : digestive, stimulante, affections respiratoires.

En externe : affections cutanées, démangeaisons, brûlures.






Devant Picris echioides L., Picris fausse vipérine, Astéracées :







Plante comestible :

On consomme les feuilles.





Hypericum perforatum L., Millepertuis commun, Hypéricacées :




Plante tinctoriale :

A partir des parties aériennes de la plante fleurie, on obtient du jaune à vert vif (aucun additif), du vert à bronze (additif : fer), du rouge violacé à brun (additif : alcool).

A partir des sommités fleuries, on obtient des verts vifs (aucun additif).



Plante comestible :

On consomme les feuilles et les fleurs.



Plante médicinale :

En usage interne, préconisé dans les cas de dépression, nervosité , anxiété…

En usage externe, l'huile de millepertuis (macération de plante dans de l'huile) favorise le renouvellement des tissus, d'où son emploi contre les brûlures, plaies, douleurs dentaires et articulaires… Ses composants inhibent certains médicaments. L'hypéricine qu'elle contient est antivirale.



Plante toxique :

Le millepertuis peut augmenter la sensibilité de la peau à la lumière solaire, entraînant des rougeurs cutanées.

La photosensibilisations est liée à l’action des rayons du soleil sur une molécule sensible : l’hypéricine.







Narcissus pseudonarcissus L., Jonquille, Amaryllidacées :







Devant Chelidonium majus L., Grande chélidoine, Papavéracées :



Le latex jaune qui s’échappe d’une tige fraîchement coupée



Plante toxique et Plante médicinale :

L’Herbe-aux-verrues compte parmi les plantes faiblement toxiques. Ses parties vertes renferment en effet différents alcaloïdes. Un récit de Pline relate une des utilisations de cette plante depuis l’Antiquité. Il disait avoir vu les hirondelles (en grec chelidon) rendre la vue à leurs petits grâce à la sève de cette plante.
En médecine populaire, on utilise le latex frais pour brûler les verrues.
La médecine officielle prescrit des médicaments à base de Chélidoine contre les affections hépatiques et biliaires.



























Juncus inflexus L., Jonc arqué, Joncacées :











Devant Tussilago farfara L., Tussilage, Astéracées :





Plante médicinale :

Toux (les fleurs et feuilles renferment énormément de mucilages), anti-inflammatoire.



Plante toxique :

Contient des alcaloïdes de pyrrolizidine.







Evernia prunastri (L.) Ach., Lichen fruticuleux, Parméliacées :








Plante de la famille des Apiacées :













Devant Dipsacus fullonum L., Cardère sauvage, Dipsacacées ou Caprifoliacées :






Plante médicinale :

La racine, qui renferme de l'inuline comme substance de réserve, est apéritive.



Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Card%C3%A8re_sauvage


























Devant Phragmites sp., Phragmite, Poacées :












Juncus inflexus L., Jonc arqué, Joncacées :










Cardamine hirsuta L., Cardamine hérissée, Brassicacées :





Plante comestible :

On consomme les feuilles, les fleurs et boutons floraux, les graines et la racine.



Plante médicinale :

Stimulation de l’activité hépatique et biliaire, antispasmodique, contre les douleurs rhumatismales, toux, asthme, crampes d’estomac.







Rumex acetosa L., Oseille commune, Polygonacées :





Utilisations :

L'oseille commune est utilisée en soupes, dans des sauces ou en salades. Son goût acidulé lui vient de l'acide ascorbique qu'elle contient. Cela lui permet de relever la saveur de certains poissons et surtout de dissoudre ou d’amollir les fines arêtes. Le calcium qu’elles contiennent devient alors disponible. À consommer avec modération car l'oseille contient de l'acide oxalique.



Il existe des variétés à pétiole et nervures rouges, utilisées pour l'ornement.



Grâce à sa racine pivotante, elle peut être utilisée pour drainer les terrains hydromorphes.



Caractère bio-indicateur :

Indique un sol au Ph à légèrement acide (~6,5). C'est aussi une des rares indicatrices des sols en équilibre (avec le Mouron blanc, le Plantain lancéolé et la Luzerne d'Arabie).



Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oseille_commune






Une plante dicotylédone :



En général, les dicotylédones présentent une plantule à deux cotylédons, ce qui les différencie des monocotylédones (comme les herbes et graminées) qui, en général, n'en présentent qu'un seul.



Un cotylédon ressemble à une feuille mais n'en est pas une au sens embryologique du terme (elle ne provient pas d'un bourgeon). C'est une structure de réserve qui permet également la photosynthèse dans les premiers jours de la plante. Elle finira par disparaitre lorsque les feuilles auront pris le relais.



Source : Un cotylédon ressemble à une feuille mais n'en est pas une au sens embryologique du terme (elle ne provient pas d'un bourgeon). C'est une structure de réserve qui permet également la photosynthèse dans les premiers jours de la plante. Elle finira par disparaître lorsque les feuilles auront pris le relais.



Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dicotyl%C3%A9done







Feuille et faine de Fagus sylvatica L., Hêtre, Fagacées :




Plante comestible :

On consomme les feuilles, les fruits (faines) et l’écorce intérieure.



Plante médicinale :

Infusion d’écorce fébrifuge, bactéricide, soulage les affections respiratoires.

Le goudron de bois de hêtre était autrefois employé pour calmer les démangeaisons et les inflammations cutanées. Le bois donne une huile essentielle appelée créosote, employée en homéopathie contre toutes sortes de troubles inflammatoires. Le charbon de bois entre dans la composition de nombreuses préparations contre les digestions paresseuses, les varices, les insuffisances cardiaques et circulatoires.



Plante tinctoriale :

Les différentes couleurs obtenues avec les feuilles du Hêtre :

- du jaune d’or (aucun additif),

- du vert (additif : cuivre),

- du vert kaki (additif : fer).








Lamium purpureum L., Lamier pourpre, Lamiacées :











Plante comestible :

On consomme les feuilles et les fleurs.







Nid d’écureuil ( ?!) dans un Hêtre :








Coprinopsis sp., Coprin, Psathyrellacées :











Devant Primula vulgaris Hudson, Primevère acaule, Primulacées :






Plante comestible :

On consomme les jeunes feuilles et les fleurs (en décoration).







Valerianella locusta (L.) Laterr., Mâche potagère, Caprifoliacées :





Plante comestible :

On consomme les feuilles, les fleurs et les graines.



Plante médicinale :

Dépurative, digestive.









Sources :





350 plantes médicinales, docteur Wolfgang Hensel, Éditions Delachaux et Niestlé, Paris 2008, réimpression 2010



Cueillir et cuisiner les plantes sauvages. Recettes, conseils et confidences, Éditions Édisud, Compagnie des éditions de la Lesse, Aix-en-Provence, 2011



Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques, François Couplan et Eva Styner, Éditions Delachaux et Niestlé, Les guides du naturaliste, Paris, 2007



Guide des plantes toxiques et allergisantes, Michel Botineau, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011



Guide des teintures naturelles, plantes à fleurs, Marie Marquet, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011



La cuisine des plantes sauvages, Meret Bisseger, Éditions Ulmer, Paris 2012



La phytothérapie, se soigner par les plantes, Docteur Jean Valnet, Éditions Le Livre de Poche, Paris, 2016



Larousse des plantes médicinales. Identification, préparation, soins, Éditions Larousse / VUEF, 2001



Plantes sauvages comestibles, Alain Creton, Séquoïa Éditions, Colomars 2011



Plantes sauvages comestibles, S.G. Fleischhauer, J. Guthmann & R. Spiegelberger, Éditions Ulmer, Paris 2012





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