mardi 6 mars 2018

La place Napoléon à La Roche-sur-Yon (85)



Les animaux :










Les Carpes koï et les Poissons rouges :







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Le Crapaud et les Grenouilles :






















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Le Crocodile du Nil :








Le Dromadaire :






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Les Flamants roses :



















Le Hibou grand-duc :










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L’Hippopotame :










L’Ibis sacré :






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La Loutre :











La Perche du Nil :








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Les fleurs, arbustes et arbres :










Acanthus mollis L., Acanthe à feuilles molles, Acanthacées :






Plante médicinale :
Les feuilles sont utilisées en usage externe contre les brûlures et les entorses et, en usage interne, pour lutter contre les ballonnements, les crampes et les troubles nerveux, ceci toutefois seulement en médecine populaire.





Acer pseudoplatanus L., Érable sycomore, Acéracées ou Sapindacées :






Plante tinctoriale :
A partir des samares (les fruits), on obtient du beige et du brun (aucun additif), avec l’écorce, du brun-rouge (aucun additif) et du noir (additif : fer) et avec les feuilles du jaune ocre (aucun additif) et du vert kaki (additif : fer).
















Acer rubrum L., Érable rouge, Acéracées ou Sapindacées :






Plante toxique :
Les feuilles de l’Érable rouge sont très toxiques pour les chevaux. Elles comportent une toxine qui cause des problèmes aux globules rouges et qui induit une mauvaise oxygénation des cellules. L’ingestion de 700 grammes est déjà considérée comme toxique et l’absorption du double de la quantité est mortelle. Les symptômes apparaissent un jour ou deux après l’ingestion. Le cheval a des difficultés à respirer, les battements de son cœur augmentent. Cela peut mener au coma et à la mort. Le traitement peut passer par l’utilisation du bleu de méthylène ou de l’huile minérale ou du charbon activé afin de stopper l’absorption des toxines au niveau de l’estomac. 50 à 75 % des chevaux touchés périssent ou doivent être euthanasiés.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89rable_rouge





Acer saccharinum L., Érable argenté, Acéracées :











Achillea millefolium 'The Beacon', Achillée millefeuille 'The Beacon', Astéracées :






Plante tinctoriale :
Avec les parties aériennes fleuries, on obtient du jaune (aucun additif) et du vert bronze, brun (additif : fer).

Plante comestible :
On consomme les feuilles fraîches ou sèches (dans la préparation de spiritueux et tisanes), les boutons floraux et les fleurs (aromatisent les boissons).

Plante médicinale :
C'est un anti-inflammatoire du tube digestif, sédatif, dépuratif et tonique. Elle est utilisée dans les affections rénales, les palpitations cardiaques, les névralgies, les maux de tête et de dents. Les substances amères stimulent la sécrétions de bile et soulagent les affections hépatiques chroniques.
En usage externe contre les douleurs articulaires et les impuretés de peau. Emploi traditionnel contre les hémorroïdes et les troubles menstruels, en homéopathie contre les saignements (d'où le nom populaire d'herbe-à-la coupure).
Chez les personnes sensibles, l’Achillée combinée au soleil peut provoquer une allergie de contact appelée « dermite des prés ».





Agapanthus sp., Agapanthe, Liliacées ou Amaryllidacées :




























Amaranthus blitum L., Amarante blette, Chénopodiacées ou Amaranthacées :





Plante comestible :
Elle est cultivée dans les jardins familiaux du Sud-Est de l'Europe, en Inde ou en Afrique centrale et orientale et consommée, notamment en Grèce en salade (avec huile d'olive et jus de citron) sous le nom de vlita (grec moderne: βλίτα).

Elle fait partie des plantes dont la culture est recommandée dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis (fin du VIIIe ou début du IXe siècle).

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Amaranthus_blitum





Azolla filiculoides Lam., Azolla fausse-fougère, Azollacées :




Utilisations :

Engrais vert :
Elle est localement récoltée, voire cultivée, pour ses capacités de fixation de l'azote. Facile à récolter parce que flottante, elle peut alors servir d'engrais vert pour améliorer la productivité de plantes cultivées dans l'eau comme le riz (y compris en zone tempérée) ou pour des cultures maraîchères. Sa culture a été scientifiquement testée durant deux ans sur des jachères de rizières inondées californiennes, dans la Sacramento Valley. L'expérience y a montré que son taux de croissance exponentielle et son contenu en azote étaient corrélé avec la température maximale de l'air entre début février et fin avril. Sa présence pourrait donc être favorisée en zone tempérée par le réchauffement climatique si les fins d'hivers deviennent nettement plus chaudes.

Bioconcentration de métaux lourds :
Cette plante fixe si bien les métaux lourds qu'elle a été proposée pour la bioremédiation ou détoxication d'effluents industriels liquides pollués par les métaux.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Azolla_filiculoides





Capsella bursa-pastoris (L.) Medik., Bourse-à-Pasteur, Brassicacées :






Plante comestible :
On consomme les feuilles, les pousses, les fleurs, les fruits, les graines et la racine.

Plante médicinale :
Elle a des propriétés hémostatiques utilisées pour stopper les saignements superficiels, nasaux et menstruels.



















Centaurea jacea L., Centaurée jacée, Astéracées :












Centranthus ruber (L.) DC., Centranthe rouge, Valérianacées :









Centranthus ruber 'Albus', Valériane des jardins, Valérianacées :










Ceratophyllum sp., Cératophylle, Cératophyllacées :









Chamaemelum nobile (L.) All., Camomille romaine, Astéracées :











Plante comestible :
Les capitules peuvent être utilisés pour aromatiser des salades et des desserts. on peut également s'en servir pour préparer une tisane.

Plante médicinale :
Les fleurs (et capitules) de Camomille romaine (Chamomillae romanae flos) sont traditionnellement réputées toniques, stomachiques, antispasmodiques et analgésiques. Cependant, d'après la monographie de la Commission E (BAnz no 221 du 25.11.93), aucune indication thérapeutique ne peut être envisagée.

Ses principes actifs sont ses constituants polyphénoliques (acide phénols, flavonoïdes, procyanidols, coumarines) ; huile essentielle, sesquiterpènes à saveur amère.

La camomille romaine est traditionnellement recommandée pour les troubles spasmodiques, comme dans le cas de troubles digestifs fonctionnels : digestions difficiles (spasmes digestifs douloureux, aérophagie, flatulences) ou de dysménorrhée. En usage externe, comme adoucissant et antiprurigineux (irritations oculaires, mal de gorge, rhinite). La camomille s'utilise en infusion (tisane, inhalation), sous forme de collyre ou collutoire, d'huile essentielle. L'action anti-inflammatoire de l'huile essentielle a été démontrée chez le rat.

Elle existe aussi sous forme de granulés ( à laisser fondre sous la langue pour les gens de plus de 6 ans. AVANT 6 ans , les parents doivent dissoudre les granulés dans un peu d'eau avant de les donner à l'enfant souffrant ). Chamomilla Vugaris ( nom du médicament homéopathique ) 4ch peut faire dormir les enfants et avoir des effets comme l'hypnotique légère.

Usage cosmétique :
En soins de beauté, elle est souvent présente dans les lotions, les crèmes, les shampoings (surtout pour cheveux blonds) . Elle est également utilisée traditionnellement comme colorant naturel des cheveux pour offrir une teinte blonde.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Camomille_romaine






Cichorium intybus L., Chicorée sauvage, Astéracées :




Plante médicinale :

La Chicorée sauvage est un tonique amer, cholagogue, dépuratif et légèrement laxatif.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cichorium_intybus



























Cirsium arvense (L.) Scop., Cirse des champs, Astéracées :




Plante comestible :
On consomme les jeunes racines de première année de l'automne jusqu'au printemps, les jeunes feuilles encore dépourvues de piquants se mangent crues ou cuites à l'eau avant la floraison.
En mai, on mange les boutons cuits comme légume ou on les confit dans la saumure ou dans une marinade piquante. Les pétales décorent les plats.

Plante médicinale :
Comme tous les cirses, la plante est peu utilisée à des fins médicinales.





Convolvulus arvensis L., Liseron des champs, Convolvulacées :






Plante médicinale :
Le Liseron des champs n’est plus guère utilisé comme laxatif, car il existe aujourd’hui de meilleures préparations.
Les glucosides résineux, les tanins et les flavonoïdes de ses feuilles sont trop irritants pour les intestins.
En homéopathie, on administre la plante en fleur fraîche pour les douleurs du dos.
Même Sainte Hildegarde de Bingen estime que le liseron n’est pas utile.





Conyza canadensis (L.) Cronquist, Érigéron du Canada, Astéracées :




Plante comestible :
On consomme les feuilles avant la floraison en juillet.

Plante médicinale :
Originaire d’Amérique du Nord, la plante s’est naturalisée en Europe au XVIIème siècle. La médecine traditionnelle nord-américaine utilise l’infusion contre les diarrhées et les troubles menstruels.
Le béta-sitostérol mime l’action des oestrogènes et soulage les troubles de la ménopause. Grâce aux tanins qu’elle contient, la plante facilite la coagulation et trouve divers emplois contre les inflammations des muqueuses. En homéopathie, contre les brûlures d’estomac, les hépatites et les inflammations de la vésicule biliaire.

Plante tinctoriale :
A partir des parties aériennes de la plante fleurie, on obtient du jaune (aucun additif) et du vert (additif : fer).






Crassula helmsii (Kirk) Cockayne, Crassule de Helms, Crassulacées :










Cyperus longus L., Souchet odorant , Cypéracées :






Plante médicinale :
Le souchet a un rhizome aromatique à odeur de violette qui a été utilisé pour faire des parfums. Au XIXe siècle, il était considéré comme tonique et stomachique.

L'usage médicinal des cyperus remonte à l'Antiquité égyptienne et à l'Antiquité grecque et latine. Outre le papyrus (Cyperus papyrus), les anciens Égyptiens connaissaient plusieurs espèces de Cyperus dont le souchet comestible (Cyperus esculentus) qu'ils utilisaient dans de nombreuses formulations médicinales et Cyperus longus qui pouvaient être utilisés dans la confection de parfums. L'encyclopédiste romain Pline au Ier siècle, décrit un cyperus comme « un jonc anguleux » dont le rhizome « est un remède infaillible contre la morsure des serpents et la piqûre des scorpions...On l'applique sur les ulcères rongeant, et surtout sur ceux de l'estomac, avec du vin et du vinaigre » (HN, XXI, 115-118). Il indique aussi que le cyperus est utilisé en parfumerie. À la même époque, Dioscoride mentionne aussi cypira pour son aptitude à guérir les blessures de scorpions, les refroidissements, les obstructions de matrice et les ulcères (MD, 1,4). Le souchet continuera à être mentionné au cours des siècles suivants par des médecins comme Oribase (IVe siècle) ou Prospero Alpini (XVIe siècle), etc.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cyperus_longus





Cytisus scoparius (L.) Link, Genêt à balais, Fabacées :





Plante tinctoriale :
A partir des fleurs, on obtient du jaune (aucun additif) ; à partir des rameaux juste fleuris, on obtient du jaune vif un peu vert (aucun additif), du vert vif (additif : cuivre).

Plante médicinale et plante toxique :
La plante renferme des amines (tyramine, dopamine), des flavonoïdes (génitoside, spiracoside et scoparoside, entre autres) et des alcaloïdes. Parmi les alcaloïdes (une vingtaine en tout) on citera la spartéine, majoritaire dans les rameaux, et la lupanine majoritaire dans les graines, mais aussi l'ammodendrine et l'hydroxylupanine.

Traditionnellement on utilisait la fleur comme diurétique et pour le traitement des troubles circulatoires (la présence de flavonoïdes explique cet usage). Les rameaux sont récoltés pour en extraire la spartéine pour les besoins de l'industrie pharmaceutique. Cet alcaloïde possède différentes propriétés pharmacologiques : il a un effet régulateur sur les battements cardiaques (en fait, il soustrait le cœur à l'influence du système nerveux végétatif), il est donc indiqué pour le traitement de l'éréthisme cardiaque. Par son activité ocytocique (il augmente les contractions de l'utérus) il peut servir, sous forme injectable, à déclencher un accouchement (il est potentiellement abortif… donc contre indiqué en cas de grossesse).

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Gen%C3%AAt_%C3%A0_balais

Plante pour la vannerie :
Les rameaux peuvent servir à confectionner des boudins en vannerie spiralée.




 
Daucus carota L., Carotte sauvage, Apiacées :




Plante tinctoriale :
A partir des parties aériennes fleuries ou des fanes de carotte, on obtient du jaune vif à vert vif (le vert s'obtient plus facilement avec la plante fraîche et en maintenant la température en dessous de l'ébullition, aucun additif), du vert bronze (additif : fer).

Plante comestible :
On consomme la racine (la première année, de septembre jusqu'au printemps suivant), les feuilles, les fleurs et les graines.

Plante médicinale :
Vermifuge, diurétique, en cas de diarrhées.





Echinochloa crus-galli (L.) P.Beauv., Pied-de-coq commun, Poacées :










Echium vulgare L., Vipérine commune, Boraginacées :






Plante toxique :
C'est une plante toxique, notamment pour le bétail, du fait de la présence d'alcaloïdes pyrrolizidiniques.

Plante médicinale :
Selon la théorie des signatures (corolles à lobes inégaux ressemblant vaguement à des mâchoires ouvertes et styles bifides évoquant une langue de serpent), cette plante était censée soigner les morsures de vipère. En fait, elle contient un alcaloïde paralysant comme le curare, l'échiine ou cynoglossine, mais en quantité si faible (0,0017 pour cent du poids de la plante fraîche) qu'elle est inoffensive pour l'homme. La pharmacopée cependant l'utilise en infusion pour calmer la toux (fleurs séchées aux propriétés dépuratives, pectorales et diurétiques)16.

Plante comestible :
Les jeunes feuilles, tendres et mucilagineuses, peuvent se consommer, crues ou cuites, comme substituts d'épinards ou en salade (mesclun), cependant leur possible toxicité incite à la prudence. La consommation de ces feuilles stimulerait le désir sexuel.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vip%C3%A9rine_commune
















Epilobium hirsutum L., Épilobe hérissé, Onagracées :









Epilobium parviflorum Schreb., Épilobe à petites fleurs, Onagracées :






Plante médicinale :
Le feuillage cueilli pendant la floraison renferme principalement des flavonoïdes et des tanins. L’infusion facilite la miction (= action d’uriner), mais son effet curatif en cas de cancer de la prostate n’est pas prouvé.






Erodium moschatum (L.) L'Hér., Bec-de-grue musqué, Géraniacées :














Fagus sylvatica L., Hêtre, Fagacées :






Plante comestible :
On consomme les feuilles, les fruits (faines) et l’écorce intérieure.

Plante médicinale :
Infusion d’écorce fébrifuge, bactéricide, soulage les affections respiratoires.
Le goudron de bois de hêtre était autrefois employé pour calmer les démangeaisons et les inflammations cutanées. Le bois donne une huile essentielle appelée créosote, employée en homéopathie contre toutes sortes de troubles inflammatoires. Le charbon de bois entre dans la composition de nombreuses préparations contre les digestions paresseuses, les varices, les insuffisances cardiaques et circulatoires.

Plante tinctoriale :
A partir des feuilles, on obtient du jaune d’or (aucun additif), du vert (additif : cuivre) et du vert kaki (additif : fer).
A partir de l’écorce, on obtient du brun-rouge (aucune additif).





















Foeniculum vulgare Miller, Fenouil commun, Apiacées :







Plante médicinale :
Partie utilisée : racine et fruits
Propriétés : Carminatif, galactogène, diurétique, emménagogue, expectorant, antispasmodique.
Mode d'emploi : huile, poudre, infusion.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fenouil_commun





Gaura lindheimeri Engelm. & A.Gray, Gaura de Lindheimer, Onagracées :










Gaura lindheimeri 'Red Color', Gaura de Lindheimer rouge, Onagracées :













Geranium molle L., Géranium mollet, Géraniacées :













Gleditsia Triacanthos 'Inermis', Févier d'Amérique sans épines, Fabacées :













Gunnera sp. :
Hypothèses d’identification :
Gunnera manicata Linden ex Delchev., Rhubarbe géante, Gunnéracées
Ou
Gunnera tinctoria (Molina) Mirb., Nalca, Gunnéracées :





La Nalca est ornementale mais aussi comestible, avec des usages voisins de ceux de la rhubarbe.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gunnera_tinctoria

Son nom la désigne comme plante à teinture. C'est une teinture noire que l'on extrait de ces racines.

Source : http://www.ville-ge.ch/cjb/enfleur/gunnera_tinctoria.php





Hypochaeris radicata L., Porcelle enracinée, Astéracées :





Plante comestible :
On consomme les feuilles, les boutons floraux et la racine.

Plante médicinale :
Affection hépatique ou biliaire, stimule la digestion.





Juncus conglomeratus L., Jonc aggloméré, Joncacées :









Plante pour la vannerie :
On se sert des brins de Jonc aggloméré comme des brins de Jonc épars : on peut créer des objets en vannerie spiralée, comme des boucles d’oreilles. Ils servent aussi pour la fabrication de jouets (petit panier, hochet, chaise de lutin, bateau...), de cordelette... Ils servent de trame pour la réalisation de tissages végétaux...





Juncus effusus L., Jonc épars, Joncacées :




Plante pour la vannerie :
Avec les brins de Jonc épars, on peut créer des objets en vannerie spiralée, comme des boucles d’oreilles. Ils servent aussi pour la fabrication de jouets (petit panier, hochet, chaise de lutin, bateau...), de cordelette... Ils servent de trame pour la réalisation de tissages végétaux...

Pour voir mes créations en Jonc épars, cliquer sur le titre de la page de mon blog : Boucles d’oreilles végétales








La paille tressée issue de cette plante appelé Igusa au Japon, est utilisée notamment comme enveloppe de couverture dans la fabrication des tatamis ou de la semelle des sandales traditionnelles, les zoris.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Juncus_effusus






Leucanthemum vulgare Lam., Grande marguerite, Astéracées :






Plante comestible :
Les feuilles jeunes et fraîches se consomment en salade. Elles ont un goût légèrement poivré. Le bouton floral se consomme cru ou comme des câpres.

Plante médicinale :
On utilise les fleurs séchées en infusion. La marguerite possède des propriétés antispasmodiques, calmantes, digestives, astringente tout comme la camomille qui est de la même famille.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_commune





Ligustrum lucidum W.T.Aiton, Troène luisant, Oléacées :











Linaria vulgaris Miller, Linaire commune, Scrofulariacées :












Plante médicinale :
La médecine populaire l’employait comme diurétique et laxatif, de même qu’en pommade pour traiter les hémorroïdes et les impuretés cutanées. Les herbiers anciens la citent comme remède contre les affections hépatiques et pour soigner la rate.





Liriodendron tulipifera L., Tulipier de Virginie, Magnoliacées :







Utilisations :
En plus de l'ornement, celui-ci possède un bois de cœur brun utilisé pour la fabrication de mobilier. On extrait de son écorce la liriodendrine, un alcaloïde succédané de la quinine. Son nectar est apprécié par les abeilles (du moins aux États-Unis) et y donne un excellent miel très foncé.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liriodendron_tulipifera
















Lotus tenuis Waldst. & Kit. ex Willd., Lotier à feuilles étroites, Fabacées :
















Lycopersicon esculentum Miller, Tomate, Solanacées :














Lycopus europaeus L., Chanvre d'eau, Lamiacées :





Plante médicinale :
Les médicaments fabriqués avec les parties vertes du Chanvre d'eau sont prescrits par la médecine officielle.
Ils réduisent l’activité de la glande thyroïde lors d’une hyperthyroïdie légère et modifient le taux d’hormones avant les règles, atténuant ainsi les effets secondaires prémenstruels.
En médecine populaire, le Chanvre d'eau était connu comme fébrifuge.






Lysimachia punctata 'Alexander', Lysimaque ponctuée panachée 'Alexander', Primulacées :













Lythrum salicaria L., Salicaire commune, Lythracées :







Plante comestible :
De juin jusqu’à début septembre, on cuit la plante pour en extraire le jus qui sert de colorant pour les plats sucrés, ou qu’on transforme en sirop en le faisant réduire sur le feu ou en l’additionnant de sucre.
Les fleurs se mangent aussi comme décoration.
En avril-mai, jeunes pousses et feuilles tendres sont un bon ingrédient de diverses salades. Les pousses donnent une note fruitée aux spiritueux et aux limonades.
Épluchées, les tiges récoltées en mai se cuisinent à l’eau ou à la poêle. Salées et brunies dans du beurre, elles se marient bien avec les plats de pomme de terre. Plus tard dans la saison, les tiges sont trop coriaces.

Plante médicinale :
L’infusion de plantes séchées (1 cm3 par tasse) est antidiarrhéique. En médecine traditionnelle contre les gastro-entérites.
Dans l’Antiquité, on l’employait aussi contre la dysenterie et le typhus.
En usage externe pour traiter les hémorroïdes, l’eczéma et les plaies.






Malus sp., Pommier, Rosacées :














Malva sylvestris L., Mauve sauvage, Malvacées :





Plante comestible :
On consomme les feuilles et les fleurs.

Plante médicinale :
Cette mauve était appelée autrefois, en latin, Omnimorbia soit toutes les maladies, en raison de ses propriétés adoucissantes pour les voies respiratoires utiles pour le traitement de nombre de symptômes. La substance active recherchée dans cette plante est le mucilage.
Les principaux effets de la mauve sont émollients et désinfectants.
Elle soulage les gonflements des mains ou des pieds subséquents à des fractures, et les phlébites.
Elle peut aider à combattre les maladies respiratoires en apaisant toux, maux et inflammations de gorge, aphtes, bronchites, enrouements et laryngites. Maria Treben la recommande également contre l'engorgement des poumons, le catarrhe bronchial, l'emphysème pulmonaire et les maladies malignes du larynx.
Elle peut aussi aider pour les inflammations des muqueuses utérines, de la vessie, du pylore, les gastrites, les ulcères gastro-intestinaux, les inflammations externes telles qu'ulcérations ou abcès, et les blessures.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_mauve





Medicago lupulina L., Luzerne lupuline, Fabacées :











Nelumbo nucifera Gaertn., Lotus sacré, Nelumbonacées :





Plante comestible :
Le lotus sacré est une plante ornementale ; il en existe des variétés à fleurs doubles. Plus de 80 cultivars sont connus au Japon. La couleur des fleurs varie du blanc pur au carmin rosé selon les variétés.

Les faux fruits séchés, en forme de pomme d'arrosoir, entrent dans la composition de bouquets secs. C'est également une plante médicinale, utilisée en cosmétique.
!
Les fleurs, les graines, les jeunes feuilles et les rhizomes, ainsi que les pédoncules (appelés en cambodgien ក្រអៅឈូក), sont tous comestibles. En Asie, les pétales sont parfois utilisés comme garniture alors que les grandes feuilles rondes servent d'assiette. En Corée, on prépare des tisanes à base de lotus, telles que yeonkkotcha (연꽃차), faite à partir de pétales séchés de lotus blanc et yeonipcha (연잎차) fait à partir des feuilles. Le rhizome, assez fibreux et insipide, est utilisé comme légume. On l'appelle 蓮藕 liánǒu en chinois (pinyin) (en caractères simplifiés : 莲藕), ngau en cantonais, bhe dans certaines régions de l'Inde et du Pakistan, មើម en cambodgien, renkon (レンコン / 蓮根) en japonais et yeongeun (연근) en coréen. On peut en extraire une fécule servant à préparer des potages, le cuire à l'eau et l'ajouter à des soupes, le faire frire, sauter ou braiser. Les pétales, les feuilles et les rhizomes peuvent aussi être mangés crus, mais il y a un risque de transmission de parasites (par ex. : Fasciolopsis buski). C'est pourquoi il est recommandé de le consommer cuit.

Les Chinois savent depuis longtemps que les rhizomes de lotus sont excellents pour la santé. Des études récentes ont confirmé que ceux-ci sont riches en fibres, vitamine C, potassium, thiamine, riboflavine, vitamine B6, phosphore, cuivre et manganèse et très pauvres en acide gras saturé.

Les étamines peuvent être séchées pour en faire une tisane parfumée appelée liánhuā cha (蓮花 茶) en chinois ou pour aromatiser les feuilles de thé au Viêt Nam. Les graines (akènes) de lotus, appelées liánzzĭ (蓮子, ou 莲子 en caractères simplifiés) en chinois, sont polyvalentes. Elles peuvent se manger crues, grillées comme des châtaignes, séchées et éclatées comme du maïs soufflé. Elles peuvent être bouillies et réduites en pâte, combinées avec des longanes séchées pour faire une soupe sucrée appelée tong sui. En y ajoutant du sucre, la pâte de graine de lotus devient un des ingrédients les plus courants de pâtisseries telles que les gâteaux de lune, les daifuku et le pudding de farine de riz. Des graines de lotus appelées Phool Mukhana sont aussi utilisées en cuisine indienne.

Il existe différentes sortes de racines à 5, 7, 9 et 11 trous, qui sont plus adaptées à différents plats pour les chinois :
Celles à 7 trous sont plus douces, pour faire des purées ou pour mettre dans les soupes.
Celles à 9 trous sont plus croquantes et sont plus adaptées à une cuisson sautée.

En Chine, les graines de lotus entrent aussi dans la composition du très célèbre riz aux huit trésors (八宝饭 babaofàn), ainsi que dans de nombreux autres plats, dont des potages.

Au Cambodge, des vendeurs ambulants proposent aussi des graines de lotus (គ្រាប់ឈូង) cuites à l'eau.

Lorsque l'on consomme la graine de lotus cuite, il est recommandé d'extraire le germe vert qui se trouve au milieu de la graine et qui est très amer.

Au Cambodge et en Thaïlande, les pédoncules de lotus sont utilisés comme légumes, dans des soupes et des salades ou encore dans des plats sautés. En Thaïlande, des producteurs proposent même des pécondules de lotus en conserve.

Plante médicinale :
Le lotus sacré est une plante importante en médecine traditionnelle chinoise. Toutes les parties de la plante sont utilisées. L'extrait du rhizome possède des propriétés anti-diabétique et anti-obésité.

Les graines de lotus sont riches en phénols et possèdent des propriétés antioxydantes significatives.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nelumbo_nucifera

On extrait de la fibre des tiges du Lotus qui servent à la fabrication d'un tissu.

Source : http://modelab.fr/le-biotextile-une-innovation-responsable/







Nymphoides peltata (S.G.Gmel.) Kuntze, Faux-nénuphar, Menyanthacées :













Nymphaea alba L., Nénuphar blanc, Nymphéacées :























Passiflora sp., Passiflore, Passifloracées :












Phragmites sp., Roseau, Poacées :















Picris echioides L., Picris fausse vipérine, Astéracées :





Plante comestible :
On consomme les feuilles.





Plantago coronopus L. (subsp. coronopus), Plantain corne-de-cerf, Plantaginacées :












Plantago lanceolata L., Plantain lancéolé, Plantaginacées :








Plante comestible :
On consomme les feuilles, les boutons floraux, les graines et la racine.

Plante médicinale :
En interne : bactéricide, dépuratif, inflammations bucco-pharyngées, ulcères de l'estomac, colites et inflammations urinaires.
En externe : soigne les plaies, irritations cutanées, brûlures, enflures et piqûres d'insectes.















Polygonum aviculare L., Renouée des oiseaux, Polygonacées :












Pontederia cordata L., Pontédérie à feuilles en cœur, Pontédériacées :














Portulaca oleracea L., Pourpier maraîcher, Portulacacées :





Plante comestible :
En avril-mai, avant la floraison, on consomme les jeunes feuilles et les tiges tendres crues ou cuites. On conserve les fleurs dans le vinaigre. On mange les graines germées en hiver.

Plante médicinale :
Le Pourpier maraîcher est efficace contre les brûlures d’estomac. Il est dépuratif, fébrifuge, diurétique et bactéricide. En infusion, il stimule le métabolisme et la digestion et soulage les maux de tête, de reins et de la vessie. En médecine chinoise contre les douleurs hépatiques et gastriques et en cas de cystite.















Potentilla verna L., Potentille printanière, Rosacées :










Prunella vulgaris L., Brunelle commune, Lamiacées :











Quercus rubra L., Chêne rouge d'Amérique, Fagacées :








Utilisation :
Introduit en Europe dès 1724, il est de plus en plus utilisé pour le reboisement (car il grandit plus vite que les chênes européens), mais il est surtout planté pour ses propriétés ornementales, en particulier son feuillage automnal. Toutefois, son utilisation en forêt est de plus en plus déconseillée en Europe, car il produit de nombreux glands dès l'âge de 20 ans et peut se montrer envahissant et se substituer aux chênes autochtones.
Le bois, lourd, à grain serré (moins que les chênes européens cependant), de couleur brun rougeâtre, est utilisé pour les charpentes, la tonnellerie, ainsi qu'en menuiserie et en ébénisterie. Il n'est cependant pas imperméable et ne peut être utilisé que pour la tonnellerie de denrées sèches (thylles peu abondantes ou absentes). L'écorce a longtemps servi au tannage des cuirs.
Il est déconseillé de le planter près des habitations car ses racines très puissantes peuvent soulever des revêtements assez épais. Il est toutefois assez utilisé comme arbre d'alignement.

Source : http://aesgsf.free.fr/V5/arbres-de-picardie-outils-didentifications-quercus-rubra-chene-rouge-damerique.html





Raphanus raphanistrum L., Ravenelle, Brassicacées :










Rubus groupe fruticosus, Ronce des bois, Rosacées :





Plante tinctoriale :
A partir des feuilles et tiges, on obtient du gris et du noir (additif : fer).
On obtient du rose, du mauve à bleu à partir des baies (aucun additif).

Plante comestible :
On consomme les feuilles, les fleurs et les fruits (les mûres !).

Plante médicinale :
On utilise l'infusion de feuilles contre la diarrhée en raison de leur forte teneur en tanins. En gargarisme, la ronce rend de précieux services dans les inflammations bucco-pharyngées. Les mûres, de même que l'infusion, ont un effet sédatif. Elles ont une grande valeur nutritive et contiennent plus de provitamine A et de vitamine E que les autres baies ainsi que beaucoup de vitamine B. Elles surpassent ainsi les autres fruits par leur teneur élevée en magnésium et en fer. De plus, elles contiennent des oligo-éléments importants comme le zinc, le manganèse et le cuivre. La couleur foncée des mûres indique une forte teneur en pigments végétaux antioxydants. Ceux-ci protègent l'organisme des radicaux libres nocifs qui jouent un rôle dans de nombreuses maladies dégénératives et dans le processus de vieillissement.

Plante pour la vannerie :
On transforme les tiges de Ronce en éclisses qui serviront à garnir des paniers et autres objets tressés, ou bien encore à coudre entre eux les boudins de plantes sauvages dans la vannerie spiralée.

Voir mon article sur la levée d’une éclisse de Ronce : Vannerie sauvage : comment lever une éclisse de Ronce des bois (Rubus groupe fruticosus)
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Rumex acetosa L., Oseille commune, Polygonacées :







Utilisations :
L'oseille commune est utilisée en soupes, dans des sauces ou en salades. Son goût acidulé lui vient de l'acide ascorbique qu'elle contient. Cela lui permet de relever la saveur de certains poissons et surtout de dissoudre ou d’amollir les fines arêtes. Le calcium qu’elles contiennent devient alors disponible. À consommer avec modération car l'oseille contient de l'acide oxalique.

Il existe des variétés à pétiole et nervures rouges, utilisées pour l'ornement.

Grâce à sa racine pivotante, elle peut être utilisée pour drainer les terrains hydromorphes.

Caractère bio-indicateur :
Indique un sol au Ph à légèrement acide (~6,5). C'est aussi une des rares indicatrices des sols en équilibre (avec le Mouron blanc, le Plantain lancéolé et la Luzerne d'Arabie).

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Oseille_commune

Plante tinctoriale :
A partir des rhizomes, on obtient des jaunes, beiges à roux (aucun additif) et du noir (additif : fer) ; avec les parties aériennes en graines, on obtient de l’orange à roux et du rouge.
On n’utilise aucun additif avec les parties aériennes : plus l’ébullition sera prolongée plus le bain donnera des tons rouges.
















Rumex obtusifolius L., Patience à feuilles obtuses, Polygonacées :










Salix alba 'Chermesina', Saule blanc 'Chermesina', Salicacées :











Salix alba L., Saule blanc, Salicacées :

























Salix matsudana 'Tortuosa', Saule tortueux, Salicacées :
















Salix purpurea L., Saule pourpre, Salicacées :








Usages :
Plante mellifère. Cette variété est utilisée en vannerie. Aussi utilisé lors de travaux de restauration de berge en génie végétal pour bouturage, tressage, etc.

Propriétés médicinales :
Parties utilisées : (1) écorce de jeunes rameaux en teinture mère, (2) Bourgeons feuilles en macérat glycériné ou (3) Chaton mâle en teinture mère.
Les deux premiers (1,2) sont fébrifuges, analgésiques, anaphrodisiaques, fongicides et diurétiques. Quant au troisième (3), Il est un puissant calmant des ardeurs sexuelles et obsessionnelles, il soigne les arthrites, les rhumatismes, l'arthrose, les douleurs musculaires et articulaires. C'est un très grand draineur.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Salix_purpurea

Plante tinctoriale :
A partir de l’écorce, des jeunes rameaux, des feuilles, des déchets d’écorçage pour la vannerie, on obtient du jaune à ocre (aucun additif) et des noirs (additif : fer).





Salvia 'Amistad', Sauge, Lamiacées :











Salvia sclarea L., Sauge sclarée, Lamiacées :









Les feuilles peuvent être utilisées, fraîches ou séchées, pour aromatiser les plats de viande : porc, veau, mouton, gibier, la charcuterie, les sauces...

Les grandes feuilles basales furent utilisées autrefois en Allemagne pour aromatiser le vin et lui donner un goût musqué. Elle a servi aussi en Angleterre à préparer de la bière comme substitut du houblon.

Sa culture de nos jours est essentiellement destinée à produire une huile essentielle utilisée dans la fabrication de vermouths, de liqueurs ou de parfums. Sa culture revêt une importance économique en France, en Hongrie et en Bulgarie.

Comme toutes les sauges, c'est aussi une plante mellifère, très attirante pour les abeilles charpentières (Xylocopa violacea) et les sphinx gazés.

Elle fait partie des plantes dont la culture est recommandée dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis (fin du VIIIe ou début du IXe siècle).

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sauge_sclar%C3%A9e






Salvia sclarea L., Sauge sclarée, Lamiacées
et
Daucus carota L., Carotte sauvage, Apiacées :






Daucus carota L., Carotte sauvage, Apiacées :

Plante tinctoriale :
A partir des parties aériennes fleuries ou des fanes de carotte, on obtient du jaune vif à vert vif (le vert s'obtient plus facilement avec la plante fraîche et en maintenant la température en dessous de l'ébullition, aucun additif), du vert bronze (additif : fer).

Plante comestible :
On consomme la racine (la première année, de septembre jusqu'au printemps suivant), les feuilles, les fleurs et les graines.

Plante médicinale :
Vermifuge, diurétique, en cas de diarrhées.






Salvia uliginosa, Sauge des marais, Lamiacées :












Senecio jacobaea L., Séneçon jacobée, Astéracées :





Plante toxique :
Contient des alcaloïdes pyrrolizidiniques (sénécionine, sénéciphylline, etc.), rassemblés sous l’appellation de « nécines ».





Senecio vulgaris L., Séneçon commun, Astéracées :



Plante toxique :
La toxicité du Séneçon commun est identique à celle du Séneçon jacobée, et des cas d’intoxication chez l’Homme ont été rapportées.







Sonchus oleraceus L., Laiteron maraîcher, Astéracées :




Plante comestible :
On consomme les feuilles et les tiges.






Sonchus asper (L.) Hill, Laiteron rude, Astéracées :




Plante comestible :
On consomme les feuilles et les tiges.






Taraxacum officinale Weber, Pissenlit officinal, Astéracées :









Plante comestible :
On consomme les feuilles, les tiges florales, les boutons floraux, et la racine.

Plante médicinale :
En interne : diurétique, soulage les affections hépatiques, la goutte et les rhumatismes.
En externe : eczéma et autres affections cutanées.

Plante tinctoriale :
Autrefois la racine était torréfiée pour remplacer le café et donnait un colorant magenta (rose).
Source : http://nature.jardin.free.fr/vivace/mc_taraxacum_officinale.htm


Bon nombre de fruits, de plantes tachent les tissus si on a le malheur de les renverser. Qui n'a jamais renversé un verre de vin sur la nappe, ou écraser une framboise sur sa chemise... Mais, même si l'on a des problèmes pour enlever ces auréoles, ce ne sont pas forcément des produits de teinture. Il ne faut pas confondre taches et teinture. Voici la liste de quelques faux amis:
La cerise qui ne donne que des vieux roses séchés
La fraise
La framboise...bref la plupart des fruits rouges
Le bleuet qui n'a jamais donné de bleu, comme cela est bien souvent indiqué à tort dans des ouvrages anciens
Les racines de pissenlit qui devraient donner un "rouge tomate" mais qui, en fait ne donnent que des litres de sueur perdue pour arracher ces racines...
Source : http://lesfilsdutemps.free.fr/tincto.htm






Taxodium distichum (L.) Rich., Cyprès chauve, Taxodiacées :












Tetradium danielli (Bennett) T. G. Hartley, Arbre à miel, Rutacées :














Tilia cordata Mill., Tilleul à petites feuilles, Tiliacées ou Malvacées :












Trachycarpus fortunei (Hook.) H.Wendl., Palmier de Chine, Arécacées :






En Chine, les inflorescences sont consommées comme légumes. Les fruits sont également comestibles à maturité, bien que peu recherchés. Les fibres et les feuilles sont également utilisées en Chine pour des usages artisanaux. La fibre sert à faire les cordes utilisées pour le jardinage au Japon.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Trachycarpus_fortunei





Trifolium pratense L., Trèfle des prés, Fabacées :












Plante comestible :
On consomme les pousses et feuilles d'avril à juin, les fleurs fraîches, et les graines.

Plante médicinale :
Traditionnellement utilisé contre les diarrhées, la toux et les éruptions cutanées chroniques. L'extrait de trèfle est de plus en plus utilisé contre les troubles de la ménopause en raison de sa teneur en ivoflavones. Ceux-ci sont des phytoestrogènes également employés dans la prévention des cancers d'origine hormonale, notamment ceux du sein, de l'utérus et de la prostate. L'infusion (3 cm3 de fleurs par tasse) est dépurative et rafraîchissante pour les yeux fatigués.






Trifolium repens L., Trèfle rampant, Fabacées :










Typha angustifolia L., Massette à feuilles étroites, Typhacées :




Plante pour la vannerie :
Ce sont les feuilles qui servent en vannerie. On peut en faire notamment des besaces, des paniers en vannerie spiralée...

C'est une plante utile, entre autres, pour des mammifères semi-aquatiques (rats musqués par exemple).
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Massette_%C3%A0_feuilles_%C3%A9troites






Typha latifolia L., Massette à feuilles larges, Typhacées :




Plante comestible :
On consomme les jeunes pousses d’avril à juin, les racines en mars et en automne, les fleurs de juin à août.

Plante médicinale :
Le pollen a des propriétés diurétiques, on l’utilise contre les calculs rénaux, les saignements, les troubles menstruels, les diarrhées et le ténia.

Plante pour la vannerie :
Ce sont les feuilles qui servent en vannerie. On peut en faire notamment des besaces, des paniers en vannerie spiralée...







Typha laxmannii Lepech., Massette de Laxmann, Typhacées :

















Vallisneria gigantea Graebn., Vallisnérie géante, Hydrocharitacées :










Vicia hirsuta (L.) S.F.Gray, Vesce hérissée, Fabacées :
















Vicia sativa L., Vesce cultivée, Fabacées :





Plante comestible :
On consomme les jeunes pousses terminales et les inflorescences encore jeunes.





Zelkowa serrata (Thunb.) Makino, Zelkova du Japon, Ulmacées :






Il est souvent cultivé comme arbre d'ornement dans les parcs et jardins. Ses petites feuilles en font une essence appréciée pour l'utilisation en bonsaï. Il est également utilisé comme porte-greffe pour les ormes en Europe, autres espèces d'Ulmacées.
C'est un symbole des villes japonaises de Sagamihara, Suzuka, Toyoake et Warabi.
Le bois de Keyaki est apprécié au Japon et souvent utilisé pour les meubles. Il est considéré comme le bois idéal pour la création de tambours taiko.
Selon les statistiques données examinées par Forest Service Corée en 1989, la plupart des arbres de plus de 500 ans étaient Zelkova serrata, alors que plus de 10 vieux arbres ont été enregistrés comme monuments naturels de la Corée.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zelkova_serrata








Sources :


350 plantes médicinales, docteur Wolfgang Hensel, Éditions Delachaux et Niestlé, Paris 2008, réimpression 2010

Cueillir et cuisiner les plantes sauvages. Recettes, conseils et confidences, Éditions Édisud, Compagnie des éditions de la Lesse, Aix-en-Provence, 2011

Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques, François Couplan et Eva Styner, Éditions Delachaux et Niestlé, Les guides du naturaliste, Paris, 2007

Guide des plantes toxiques et allergisantes, Michel Botineau, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011

Guide des teintures naturelles, plantes à fleurs, Marie Marquet, collection Les guides des… Fous de Nature !, Éditions Belin 2011

La cuisine des plantes sauvages, Meret Bisseger, Éditions Ulmer, Paris 2012

La phytothérapie, se soigner par les plantes, Docteur Jean Valnet, Éditions Le Livre de Poche, Paris, 2016

Larousse des plantes médicinales. Identification, préparation, soins, Éditions Larousse / VUEF, 2001

Plantes sauvages comestibles, Alain Creton, Séquoïa Éditions, Colomars 2011

Plantes sauvages comestibles, S.G. Fleischhauer, J. Guthmann & R. Spiegelberger, Éditions Ulmer, Paris 2012




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